Dominique Alzeari, procureur de la République et le colonel Didier Rhamani, commandant le groupement de gendarmerie de Haute-Corse sur les lieux de la fusillade
Les victimes qui, selon Dominique Alzeari, procureur de la République à Bastia, sont toutes issues du grand banditisme, se trouvaient sur une voiture lorsqu'elles seraient tombées dans une embuscade, le véhicule ayant ensuite fait une embardée avant de verser dans un ravin de près de 50 mètres.
Lorsque les sauveteurs, prévenus par un quatrième personne, que les enquêteurs recherchent activement, sont arrivés sur place ils ont découvert trois hommes gravement blessés.
Jean-Dominique Cortopossi, 25 ans, originaire de Bastia en arrêt cardio-respiratoire, est mort peu après l'arrivée des pompiers qui pensaient intervenir sur un accident de la route. Les deux autres hommes - Jean-François Cervetto et Jean-Dominique Bonavita - ont été blessés et héliportés à l'hôpital de Bastia où leur pronostic vital serait engagé.
C'est dans la voiture qui avait versé dans le ravain que les secouristes, venus épauler sur un terrain pour le moins escarpé police judiciaire et gendarmerie, en charge de l'enquête, ont découvert que les victimes avaient été blessées par balles.
Peu après les faits les lieux de la fusillade étaient bouclés par un périmètre de sécurité. Alain Rouseau, le préfet de Haute-Corse, a bouleversé son programme matinal pour se rendre, lui aussi, sur place.
Guet-apens ou coups de feu mutuels ?
Mais que s'est-il passé à 6 heures entre le col Saint-Antoine et Silvareccio ?
Guet-apens, comme il y en a déjà eu dans la région, ou échanges de coups de feu après un rendez-vous qui a mal tourné ?
Il était difficile de l'affirmer avec précision mercredi matin, ainsi que le laissait entendre Dominique Alzeari aux micros de nos confrères de France 3 et RCFM
Seul, le quatrième homme, dont on était toujours sans nouvelle au milieu de l'après-midi, serait en mesure de répondre à ces interrogations.
Reste que selon des sources policières, les hommes impliqués dans cette sanglante fusillafe seraient des proches d'un restaurateur de la Plaine Orientale dont l'assassinat le 29 octobre 2011 avait été revendiqué par FLNC qui l'accusait d'avoir tué l'un de ses cadres le 28 juin 2011 à Folelli.
Lorsque les sauveteurs, prévenus par un quatrième personne, que les enquêteurs recherchent activement, sont arrivés sur place ils ont découvert trois hommes gravement blessés.
Jean-Dominique Cortopossi, 25 ans, originaire de Bastia en arrêt cardio-respiratoire, est mort peu après l'arrivée des pompiers qui pensaient intervenir sur un accident de la route. Les deux autres hommes - Jean-François Cervetto et Jean-Dominique Bonavita - ont été blessés et héliportés à l'hôpital de Bastia où leur pronostic vital serait engagé.
C'est dans la voiture qui avait versé dans le ravain que les secouristes, venus épauler sur un terrain pour le moins escarpé police judiciaire et gendarmerie, en charge de l'enquête, ont découvert que les victimes avaient été blessées par balles.
Peu après les faits les lieux de la fusillade étaient bouclés par un périmètre de sécurité. Alain Rouseau, le préfet de Haute-Corse, a bouleversé son programme matinal pour se rendre, lui aussi, sur place.
Guet-apens ou coups de feu mutuels ?
Mais que s'est-il passé à 6 heures entre le col Saint-Antoine et Silvareccio ?
Guet-apens, comme il y en a déjà eu dans la région, ou échanges de coups de feu après un rendez-vous qui a mal tourné ?
Il était difficile de l'affirmer avec précision mercredi matin, ainsi que le laissait entendre Dominique Alzeari aux micros de nos confrères de France 3 et RCFM
Seul, le quatrième homme, dont on était toujours sans nouvelle au milieu de l'après-midi, serait en mesure de répondre à ces interrogations.
Reste que selon des sources policières, les hommes impliqués dans cette sanglante fusillafe seraient des proches d'un restaurateur de la Plaine Orientale dont l'assassinat le 29 octobre 2011 avait été revendiqué par FLNC qui l'accusait d'avoir tué l'un de ses cadres le 28 juin 2011 à Folelli.
Les "montagnards" de la gendarmerie ont exploré le ravin où est tombé l voiture à la recherche d'indices