(Illustration G. Petit)
Dans un communiqué Mossa Paisana souligne notamment :
La DRAFF tout en avouant n'avoir pas été informé avançait que l'évaluation des pertes de la production fourragère est toujours difficile à établir, d'autant plus lorsqu'il s'agit comme en Corse de parcours extensifs, parcours pourtant enfin reconnus. La DDTM quant à elle déclarait " Peu importe les raisons du refus pour la sécheresse 2015, il n'en reste pas moins que le CNGRA applique des normes qui certes sont valables en Normandie mais pas en Corse." Et d'enfoncer le clou "nous avons proposé à la chambre et la profession agricole de travailler sur des critères plus adaptés à l'élevage extensif mais sans succès."
Nous compatissons à la situation d'extrême sécheresse de la verte normandie alors que nous autres ne savons que faire de notre surplus d'eau et félicitons nos représentants pour leur vision efficace de la défense de l'agriculture corse.
A Mossa Paisana, force de proposition, demande à toutes les entités concernées de prendre les mesures qui s'imposent pour que les paysans corses ne soient pas les oubliés permanents des technocrates parisiens et en appelle à notre profession, divisée par la pulitichella, de retrouver, à nos cotés, les chemins du combat syndical indispensable à notre survie et au bien être des paysans corses de demain."
La DRAFF tout en avouant n'avoir pas été informé avançait que l'évaluation des pertes de la production fourragère est toujours difficile à établir, d'autant plus lorsqu'il s'agit comme en Corse de parcours extensifs, parcours pourtant enfin reconnus. La DDTM quant à elle déclarait " Peu importe les raisons du refus pour la sécheresse 2015, il n'en reste pas moins que le CNGRA applique des normes qui certes sont valables en Normandie mais pas en Corse." Et d'enfoncer le clou "nous avons proposé à la chambre et la profession agricole de travailler sur des critères plus adaptés à l'élevage extensif mais sans succès."
Nous compatissons à la situation d'extrême sécheresse de la verte normandie alors que nous autres ne savons que faire de notre surplus d'eau et félicitons nos représentants pour leur vision efficace de la défense de l'agriculture corse.
A Mossa Paisana, force de proposition, demande à toutes les entités concernées de prendre les mesures qui s'imposent pour que les paysans corses ne soient pas les oubliés permanents des technocrates parisiens et en appelle à notre profession, divisée par la pulitichella, de retrouver, à nos cotés, les chemins du combat syndical indispensable à notre survie et au bien être des paysans corses de demain."