Voici le communiqué qu'il a rendu public samedi :
"Les élections municipales de mars prochain à Bastia s’annoncent riches en événements. Pour la première fois depuis des décennies la citadelle zuccarelliste est dans une situation pour le moins inconfortable. L’usure du pouvoir et le manque d’initiatives notables ne sont pas étrangers à cette situation. Mais les jeux ne sont pas encore faits. De nouvelles formations politiques émergent sur l’échiquier bastiais, hétéroclites, animées par le désir commun, semble t-il, d’éradiquer un «clan» (dont une personnalité appartenait il n’y a pas encore si longtemps).
Cela suffit-il pour être crédible ? Et quelles seront les conséquences, en cas de victoire, sur la stabilité politique du futur Conseil municipal ? A droite, les perspectives ne sont pas encourageantes, plombées par les divisions et une lecture politique difficilement lisible aujourd’hui. Mais cela peut évoluer.
Quant au Front National qui avait réalisé, à l’occasion des élections présidentielles de mai 2012, un excellent score, 25% des suffrages exprimés soit 3 760 voix, il ne sera pas présent.
Nous mesurons la déception de nos militants, sympathisants et électeurs de l’injustice de ne pas pouvoir participer à ces élections, alors que le Front national sera certainement, après les élections européennes de mai prochain, le premier parti de France. Mais d’autres combats se profilent, décisifs et qui nécessiteront la mobilisation de toutes et de tous.
Il n’y a pas de consigne de vote pour les deux tours, nous laissons nos électeurs libres de leur choix en ayant à l’esprit l’intérêt des bastiaises et des bastiais".
"Les élections municipales de mars prochain à Bastia s’annoncent riches en événements. Pour la première fois depuis des décennies la citadelle zuccarelliste est dans une situation pour le moins inconfortable. L’usure du pouvoir et le manque d’initiatives notables ne sont pas étrangers à cette situation. Mais les jeux ne sont pas encore faits. De nouvelles formations politiques émergent sur l’échiquier bastiais, hétéroclites, animées par le désir commun, semble t-il, d’éradiquer un «clan» (dont une personnalité appartenait il n’y a pas encore si longtemps).
Cela suffit-il pour être crédible ? Et quelles seront les conséquences, en cas de victoire, sur la stabilité politique du futur Conseil municipal ? A droite, les perspectives ne sont pas encourageantes, plombées par les divisions et une lecture politique difficilement lisible aujourd’hui. Mais cela peut évoluer.
Quant au Front National qui avait réalisé, à l’occasion des élections présidentielles de mai 2012, un excellent score, 25% des suffrages exprimés soit 3 760 voix, il ne sera pas présent.
Nous mesurons la déception de nos militants, sympathisants et électeurs de l’injustice de ne pas pouvoir participer à ces élections, alors que le Front national sera certainement, après les élections européennes de mai prochain, le premier parti de France. Mais d’autres combats se profilent, décisifs et qui nécessiteront la mobilisation de toutes et de tous.
Il n’y a pas de consigne de vote pour les deux tours, nous laissons nos électeurs libres de leur choix en ayant à l’esprit l’intérêt des bastiaises et des bastiais".