«Nous condamnons la position du Gouvernement concernant les mesures prisent pour tout les personnels soignants. A domicile, en Ephad, en hôpital, ils ont tous répondu présent et ont été en première ligne depuis le début de la crise sanitaire COVID. Pour faire passer la pilule de votre gestion désastreuse de la crise sanitaire vous avez mis en place la prime Covid mais qui au départ excluait les services d’aide à domicile tout secteur confondu, puis après mobilisation, finalement dans l’instruction budgétaire du 5 juin 2020, nous étions inclus et éligibles à cette prime Covid. Vous avez mis en place le Ségur de la Santé pour les personnels hospitaliers, pour les personnels des Ephad mais vous en avez exclu tout les salariés de l’aide à domicile relevant des SAAD au motif que nous n’étions pas du personnel soignant.
Avec vos annonces lundi soir, vous voulez imposer à tout ces personnels oubliés du Ségur l’obligation de la vaccination sous peine de ne pas être rémunéré, allant les menacer de licenciements.
Concernant le secteur de l’aide à domicile vous connaissez la grande difficulté des employeurs à recruter car notre métier n’est pas attractif. Comment ferons demain nos employeurs s’ils doivent faire face à un afflux massif de démissions.
Et idem, pour tout les personnels soignants qu’ils soient de l’hôpital ou des Ephads.
Pour le Gouvernement, selon son humeur un jour nous sommes des soignants, un autre non. Votre position et vos annonces remettent en cause le principe fondamental même de la liberté et de quelques droits les plus élémentaires tels que le serment d’Hippocrate, le code de déontologie médicale, article 36 ( Art R4127-36 du Code de Santé Publique) elus récent la loi Kouchner et la décision du Conseil de l’Europe en date du 28 janvier 2021( article 731 et 732)
Un Président Français et un Ministre ne doivent-ils pas connaitre l’article du code civil français qui prévoit en son article 16-1 que chacun a le droit au respect de son corps, qu’il est inviolable ?
Mr le Président de la République, vous feriez de nous rendre des comptes concernant les 20 milliards de détournés dans le financement a la dépendance depuis 2006 (article parue dans l’Humanité. Pour finir, nous ne sommes pas contre le vaccin mais contre l’obligation vaccinale »
Avec vos annonces lundi soir, vous voulez imposer à tout ces personnels oubliés du Ségur l’obligation de la vaccination sous peine de ne pas être rémunéré, allant les menacer de licenciements.
Concernant le secteur de l’aide à domicile vous connaissez la grande difficulté des employeurs à recruter car notre métier n’est pas attractif. Comment ferons demain nos employeurs s’ils doivent faire face à un afflux massif de démissions.
Et idem, pour tout les personnels soignants qu’ils soient de l’hôpital ou des Ephads.
Pour le Gouvernement, selon son humeur un jour nous sommes des soignants, un autre non. Votre position et vos annonces remettent en cause le principe fondamental même de la liberté et de quelques droits les plus élémentaires tels que le serment d’Hippocrate, le code de déontologie médicale, article 36 ( Art R4127-36 du Code de Santé Publique) elus récent la loi Kouchner et la décision du Conseil de l’Europe en date du 28 janvier 2021( article 731 et 732)
Un Président Français et un Ministre ne doivent-ils pas connaitre l’article du code civil français qui prévoit en son article 16-1 que chacun a le droit au respect de son corps, qu’il est inviolable ?
Mr le Président de la République, vous feriez de nous rendre des comptes concernant les 20 milliards de détournés dans le financement a la dépendance depuis 2006 (article parue dans l’Humanité. Pour finir, nous ne sommes pas contre le vaccin mais contre l’obligation vaccinale »