Anthony Gaillot, était attablé à la terrasse d'un café, lorsque les tirs ont été déclenchés en sa direction. Rapidement les secours se sont organisés mais il était déjà trop tard pour la victime qui avait eu maille à partir avec la justice il y a quelques années.
Anthony Gaillot avait, en effet, éte condamné en 2010 par les assises des Bouches-du-Rhône à dix ans de réclusion et 10.000 euros d'amendes par la cour d'assises des Bouches-du-Rhône dans une affaire de vol d'or en Suisse en 2004.
La cour d'Assises l'avait reconnu coupable d'avoir participé au vol de 3.060 lingots d'or et douze barres d'or fin chez Metalor, à Marin dans le canton de Neuchâtel.
Mais le butin n'a jamais été retrouvé.
Depuis vendredi soir l'affaire est entre les mains, comme cela est devenu une habitude à présent, des services de police et ceux de la gendarmerie.
A l'heure des premières constations le substitut du procureur de la République d'Ajaccio, Guillaume Saint-Cricq, qui s'est sur rendu place peu après les faits, affirmait qu'aucune piste n'était privilégiée même si l'on dit que l'homme tué vendredi soir à Sainte-Lucie de Porto-Vecchio était considéré par la police et par la justice comme étant un proche de la bande de La brise de mer au sein de laquelle les règlements de compte se multiplient depuis 2008.
Il s'agit du quatrième homicide en Corse depuis le début de l'année.
Anthony Gaillot avait, en effet, éte condamné en 2010 par les assises des Bouches-du-Rhône à dix ans de réclusion et 10.000 euros d'amendes par la cour d'assises des Bouches-du-Rhône dans une affaire de vol d'or en Suisse en 2004.
La cour d'Assises l'avait reconnu coupable d'avoir participé au vol de 3.060 lingots d'or et douze barres d'or fin chez Metalor, à Marin dans le canton de Neuchâtel.
Mais le butin n'a jamais été retrouvé.
Depuis vendredi soir l'affaire est entre les mains, comme cela est devenu une habitude à présent, des services de police et ceux de la gendarmerie.
A l'heure des premières constations le substitut du procureur de la République d'Ajaccio, Guillaume Saint-Cricq, qui s'est sur rendu place peu après les faits, affirmait qu'aucune piste n'était privilégiée même si l'on dit que l'homme tué vendredi soir à Sainte-Lucie de Porto-Vecchio était considéré par la police et par la justice comme étant un proche de la bande de La brise de mer au sein de laquelle les règlements de compte se multiplient depuis 2008.
Il s'agit du quatrième homicide en Corse depuis le début de l'année.