L'hopital public le grand perdant
A l'origine du conflit, un accord passé entre l'ARS et la clinique. Un système gagnant-gagnant pour une mutualisation des moyens. Une belle histoire de partenariat privé public ou tout le monde aurait à y gagner. Mais les syndicats ne l'entendent définitivement pas de cette oreille et comptent bien aller au bout du combat qu'ils ont entamé il y a maintenant quelques semaines.
D'après les représentants syndicaux, Si on fait la synthèse de ce dossier fantôme (car personne n’en a encore lu une seule ligne) , la construction de la clinique met d’ores et déjà fin à toutes possibilités d’extension ou d’évolution d’un établissement qui n’est pas encore sorti de terre (internat, crèche, maison de familles, nouvelles activités…)
Dans un tract précédent, l'intersyndical précisait: "Dans l’expression « Gagnant-gagnant » employée par le directeur de l’ARS, le patient, son hôpital et l’accès aux soins publics gratuits sont les grands perdants ! Quand à l’intérêt du patient, nous n’avons jamais constaté que le fait de sortir sa carte bleue garantissait des soins de qualité ! Si les actionnaires de la clinique veulent acquérir un terrain pour construire leur clinique c’est leur droit mais qu’ils la construisent ailleurs ! Si le Directeur Général de l’ARS souhaite brader un terrain qu’il le fasse sur son patrimoine personnel !"
D'après les représentants syndicaux, Si on fait la synthèse de ce dossier fantôme (car personne n’en a encore lu une seule ligne) , la construction de la clinique met d’ores et déjà fin à toutes possibilités d’extension ou d’évolution d’un établissement qui n’est pas encore sorti de terre (internat, crèche, maison de familles, nouvelles activités…)
Dans un tract précédent, l'intersyndical précisait: "Dans l’expression « Gagnant-gagnant » employée par le directeur de l’ARS, le patient, son hôpital et l’accès aux soins publics gratuits sont les grands perdants ! Quand à l’intérêt du patient, nous n’avons jamais constaté que le fait de sortir sa carte bleue garantissait des soins de qualité ! Si les actionnaires de la clinique veulent acquérir un terrain pour construire leur clinique c’est leur droit mais qu’ils la construisent ailleurs ! Si le Directeur Général de l’ARS souhaite brader un terrain qu’il le fasse sur son patrimoine personnel !"
Arbitrage du conseil de surveillance le 2 juillet
Les différents représentants syndicaux hospitaliers ont rencontré successivement le maire d'Ajaccio, le président de la CAPA, le bureau du conseil economique et social, tous les groupes politiques de la CTC ainsi que son président, et ont été entendus par la Commission de la santé pendant plus d'une heure, une motion a finalement été déposée et votée par la Collectivité Territoriale de Corse contre la construction de la clinique sur le terrain du nouvel hôpital et pour le transfert de l'hôpital Eugénie sur le site.
A la suite de leur rencontre avec le mMinistère, en présence du directeur de l’ARS et du directeur de l’Etablissement, il a été acté que l’avis du conseil de surveillance serait déterminant.
Rendez vous est donc pris pour le jeudi 2 juillet à 9 heures, lors de la réunion du conseil de surveillance.
'Intersyndicale a donc lancé un appel à la mobilisation auprès du personnel ce 2 juillet à partir de 8h30 devant le bâtiment administratif.
La suite au prochain épisode.
A la suite de leur rencontre avec le mMinistère, en présence du directeur de l’ARS et du directeur de l’Etablissement, il a été acté que l’avis du conseil de surveillance serait déterminant.
Rendez vous est donc pris pour le jeudi 2 juillet à 9 heures, lors de la réunion du conseil de surveillance.
'Intersyndicale a donc lancé un appel à la mobilisation auprès du personnel ce 2 juillet à partir de 8h30 devant le bâtiment administratif.
La suite au prochain épisode.