- Cette 29ème édition a failli ne pas avoir lieu. Continuer est-ce un challenge ?
- Oui ! Tous les ans, c’est difficile, c’est une remise en question permanente. On ne sait jamais ! A l’heure où je vous parle, je ne sais pas si on sera toujours là, l’année prochaine. Cela dépend de pas mal de choses. D’abord, comment va se dérouler cette édition. Celle de l’année dernière ne s’est pas bien passée. Il faudrait que celle-ci se passe à peu près bien pour que l’on puisse envisager de repartir. Pendant les vingt premières années, nous n’avions pas ce souci. Depuis dix ans, c’est compliqué !
- Le public a-t-il changé ? La guitare n’attire-t-elle plus les foules ?
- La guitare, en elle-même, les instrumentistes purs, aussi talentueux soient-ils, n’ont jamais attiré les grandes foules. Le problème, ce sont les frais qui ont évolué de façon exponentielle au niveau de la technique, de la sécurité… Les subventions n’ont pas augmenté. Un public de 700 à 800 personnes pour les soirées guitare ne paye même pas les frais de structure. Nous sommes, donc, obligés de faire appel à des programmations beaucoup plus grand public pour compenser.
- D’où la soirée de clôture avec deux icones de la variété française ?
- Oui ! Nous sommes contents d’accueillir des artistes pareils qui font partie des très grands chanteurs et compositeurs de la chanson française. J’ai vu Véronique Sanson en concert : c’est juste énorme à tous les points de vue, que ce soit musical ou autre ! J’ai de très bons retours sur la tournée de Julien Clerc. Je sais que ce sera une très belle soirée où nous prendrons beaucoup de plaisir. Si en plus, ces concerts devaient nous donner un coup de main pour compenser les pertes sur certaines soirées, ce serait bien aussi.
- L’événement, cette année, c’est la venue du groupe Texas. Là aussi, une grande soirée en perspective … Comment les avez-vous convaincus ?
- Assez facilement ! A partir du moment où nous nous sommes adressés aux bons interlocuteurs, les choses se sont très bien passées, de façon très courtoise. Ces Ecossais sont des gens charmants à tous les points de vue. Nous sommes ravis de les accueillir. Ils sont aussi ravis de venir. Sharleen Spiteri avait très envie de découvrir la Corse. Le groupe va passer trois jours chez nous. C’est un grand bonheur que de les avoir. Il suffit de voir le niveau des réservations actuelles pour savoir que ce sera une très grande soirée !
- Vous reprogrammez Julien Doré qui est venu il y a quatre ans. Pourquoi ?
- Il est très demandé actuellement. Sa tournée, l’année dernière, a été un succès phénoménal qui s’est ponctué par deux Bercy pleins à craquer au mois de novembre. Il repart tout seul sur la route. Il avait envie de tout changer, de se dépouiller et d’avoir un contact très intimiste, très proche du public, de se mettre en danger, comme il aime le dire. C’est sûr qu’à Patrimonio, il ne sera pas en danger du tout ! Pour ce genre d’exercice, quand on a envie d’être là, de donner, de partager, il a le public qu’il faut ! Le public corse est un public très attentif et très respectueux. Quand on lui donne, il sait rendre. Je crois que ce concert sera très sympathique. Et bien que Julien Doré ait fait plusieurs incursions en Corse ces dernières années, il est apparemment encore très attendu.
- En première de Julien Doré, vous annoncez deux prodiges peu connus : Antoine Boyer &Samuelito. De qui s’agit-il ?
- Deux guitaristes. Deux jeunes prodiges français qui ont tout juste 20 ans. Ils sont extraordinaires ! Pour nous, présenter ces deux jeunes virtuoses en première partie de Julien Doré, c’est-à-dire dans une salle qui sera bien remplie, c’est un vrai plaisir ! On va leur offrir un public qui, on le sait, ne sera pas venu pour eux, mais ils ont suffisamment de talent pour attirer son attention. C’est aussi notre mission : faire aimer la guitare même à des gens qui, au départ, ne s’en préoccupent pas plus que cela. C’est une mission difficile !
- Vous ne dérogez pas à la nuit tsigane avec, cette année, des habitués du festival. Pourquoi ces retours ?
- Dorado Schmitt et Angelo Debarre font partie des figures qui ont marqué les grandes nuits tsiganes du festival. Ça faisait un moment que Dorado n’était pas venu. Il s’était déjà produit avec son fils Samson qui est un guitariste brillantissime, il est accompagné, aujourd’hui, de son plus jeune fils Sonny Amati qui est, aussi, un guitariste incroyable. C’est une grande famille de musiciens. Pour eux, Patrimonio est un festival qui compte, et Dorado est fier de nous faire découvrir son fils. Pour nous, ce sont des amis et cela nous fait plaisir de les accueillir. Angelo Debarre avec Marius Apostol au violon et tout le quintet nous promettent un deuxième grand moment de musique manouche. Ce sera une très belle soirée tsigane !
- Lui succède la Nuit du Brésil avec un autre revenant et la promesse d’une autre très belle nuit ?
- Ah ! Une nuit incroyable ! Le Trio Aquarela est superbe ! Il suffit d’aller sur You Tube ou sur notre site, une simple écoute montre qu’on prendra énormément de plaisir à entendre ce trio. Joào Bosco est un monument de la musique brésilienne, au même titre qu’un Gilberto Gil, un Giorgio Bel… C’est de la musique traditionnelle brésilienne de très grande qualité. En plus Joào Bosco a invité Hamilton De Holanda dans son quintet. C’est la cerise sur le gâteau ! Hamilton est un bandoliniste incoyable. Nous attendons cette soirée avec beaucoup d’impatience.
- A la suite, une soirée Jazz avec un maestro et un inconnu qui est votre coup de cœur ?
- Oui ! En première partie, Snips Trio, c’est terrible ! Matteo Mancuso, le petit guitariste, qui mène le trio, n’a pas 20 ans, mais est juste hallucinant ! Incroyable ! C’est un ami guitariste corse, Jean-François Oricelli, qui me l’a fait découvrir. Il m’a envoyé un lien vidéo. Quand j’ai entendu, j’ai halluciné ! J’ai découvert en faisant des recherches que c’était un trio composé d’un bassiste tout aussi incroyable et d’un batteur. Ce trio, qui n’a pas encore un an d’existence, est déjà programmé dans tous les grands festivals de jazz italien. Nous sommes ravis de les accueillir à Patrimonio. Pour passer derrière eux, il fallait du costaud en seconde partie. C’est le cas avec Biréli Lagrène qui est l’un des plus grands guitaristes du monde. Il sera à la basse, il ne l’a jamais fait avant, mais il mourrait d’envie de rendre hommage à un mythe de la guitare basse, son maître Jaco Pastorius, avec lequel il a fait plusieurs albums et plusieurs séries de concerts. Un grand moment de musique, de guitare et de basse en perspective.
- Autre retour, celui de Johnny Gallagher après un concert d’anthologie en 2012… et Imany. Là aussi, succès assuré ?
- Johnny, c’est notre ami. C’est normal qu’il revienne de temps en temps. Il a écrit une chanson magnifique sur Patrimonio, pleine de choses vraies, touchantes… Il a tellement de charisme et de talent. En seconde partie, Imany est une nouvelle star de la chanson. C’est un mannequin qui s’est lancée avec beaucoup de bonheur dans la chanson et la composition. Elle est attendue. Les jeunes l’aiment beaucoup. C’est une très belle artiste.
- Le festival débute par une soirée guitare qui semble être votre soirée préférée ?
- Ce n’est pas ma préférée, mais c’est une soirée que je ne raterais pour rien au monde ! C’es une soirée énorme avec deux guitaristes chanteurs : Eric Gales est un guitariste blues-rock vraiment incroyable qui est comparé, aux Etats-Unis, à Jimmy Hendrix. Même si Hendrix est un mythe, la comparaison n’est pas totalement usurpée. Richie Kotzen est un guitariste hors norme qu’on suit depuis quelques années et qu’on voulait à tous prix avoir à Patrimonio. Enfin, il est là ! Les fans de guitare, et il y en a, sont ravis. Ceux, qui ne sont pas encore fan de Richie Kotzen, iront écouter et ils se diront que c’est un guitariste à ne pas rater ! C’est un Guitare Hero ! Il a un répertoire énorme, il a même collaboré sur un album avec Stanley Clarke qui est un monument du jazz et de la contrebasse ! C’est quelqu’un qui touche à tout avec un égal bonheur.
- Etes-vous satisfait de cette édition ?
- Je ne suis jamais content d’emblée ! J’ai trop de choses en tête, puis je me familiarise petit à petit avec la programmation. C’est un peu comme un enfant que l’on découvre. Très vite, on commence à l’aimer.
- Après presque 30 ans, c’est-à-dire une génération, votre enthousiasme et votre envie sont-ils intacts ?
- Oui ! L’envie est toujours là. L’amour de la musique et de la guitare est intact. Les difficultés de plus en plus croissantes ne vont-elles pas ébrécher tout cela ? Je ne sais pas encore. On n’est pas inoxydable ! Pour le moment, nous sommes optimistes. C’est dans notre tempérament. Si nous ne l’étions pas, nous ne serions jamais arrivés à 29 ans ! Après, on verra…
Propos recueillis par Nicole MARI
- Oui ! Tous les ans, c’est difficile, c’est une remise en question permanente. On ne sait jamais ! A l’heure où je vous parle, je ne sais pas si on sera toujours là, l’année prochaine. Cela dépend de pas mal de choses. D’abord, comment va se dérouler cette édition. Celle de l’année dernière ne s’est pas bien passée. Il faudrait que celle-ci se passe à peu près bien pour que l’on puisse envisager de repartir. Pendant les vingt premières années, nous n’avions pas ce souci. Depuis dix ans, c’est compliqué !
- Le public a-t-il changé ? La guitare n’attire-t-elle plus les foules ?
- La guitare, en elle-même, les instrumentistes purs, aussi talentueux soient-ils, n’ont jamais attiré les grandes foules. Le problème, ce sont les frais qui ont évolué de façon exponentielle au niveau de la technique, de la sécurité… Les subventions n’ont pas augmenté. Un public de 700 à 800 personnes pour les soirées guitare ne paye même pas les frais de structure. Nous sommes, donc, obligés de faire appel à des programmations beaucoup plus grand public pour compenser.
- D’où la soirée de clôture avec deux icones de la variété française ?
- Oui ! Nous sommes contents d’accueillir des artistes pareils qui font partie des très grands chanteurs et compositeurs de la chanson française. J’ai vu Véronique Sanson en concert : c’est juste énorme à tous les points de vue, que ce soit musical ou autre ! J’ai de très bons retours sur la tournée de Julien Clerc. Je sais que ce sera une très belle soirée où nous prendrons beaucoup de plaisir. Si en plus, ces concerts devaient nous donner un coup de main pour compenser les pertes sur certaines soirées, ce serait bien aussi.
- L’événement, cette année, c’est la venue du groupe Texas. Là aussi, une grande soirée en perspective … Comment les avez-vous convaincus ?
- Assez facilement ! A partir du moment où nous nous sommes adressés aux bons interlocuteurs, les choses se sont très bien passées, de façon très courtoise. Ces Ecossais sont des gens charmants à tous les points de vue. Nous sommes ravis de les accueillir. Ils sont aussi ravis de venir. Sharleen Spiteri avait très envie de découvrir la Corse. Le groupe va passer trois jours chez nous. C’est un grand bonheur que de les avoir. Il suffit de voir le niveau des réservations actuelles pour savoir que ce sera une très grande soirée !
- Vous reprogrammez Julien Doré qui est venu il y a quatre ans. Pourquoi ?
- Il est très demandé actuellement. Sa tournée, l’année dernière, a été un succès phénoménal qui s’est ponctué par deux Bercy pleins à craquer au mois de novembre. Il repart tout seul sur la route. Il avait envie de tout changer, de se dépouiller et d’avoir un contact très intimiste, très proche du public, de se mettre en danger, comme il aime le dire. C’est sûr qu’à Patrimonio, il ne sera pas en danger du tout ! Pour ce genre d’exercice, quand on a envie d’être là, de donner, de partager, il a le public qu’il faut ! Le public corse est un public très attentif et très respectueux. Quand on lui donne, il sait rendre. Je crois que ce concert sera très sympathique. Et bien que Julien Doré ait fait plusieurs incursions en Corse ces dernières années, il est apparemment encore très attendu.
- En première de Julien Doré, vous annoncez deux prodiges peu connus : Antoine Boyer &Samuelito. De qui s’agit-il ?
- Deux guitaristes. Deux jeunes prodiges français qui ont tout juste 20 ans. Ils sont extraordinaires ! Pour nous, présenter ces deux jeunes virtuoses en première partie de Julien Doré, c’est-à-dire dans une salle qui sera bien remplie, c’est un vrai plaisir ! On va leur offrir un public qui, on le sait, ne sera pas venu pour eux, mais ils ont suffisamment de talent pour attirer son attention. C’est aussi notre mission : faire aimer la guitare même à des gens qui, au départ, ne s’en préoccupent pas plus que cela. C’est une mission difficile !
- Vous ne dérogez pas à la nuit tsigane avec, cette année, des habitués du festival. Pourquoi ces retours ?
- Dorado Schmitt et Angelo Debarre font partie des figures qui ont marqué les grandes nuits tsiganes du festival. Ça faisait un moment que Dorado n’était pas venu. Il s’était déjà produit avec son fils Samson qui est un guitariste brillantissime, il est accompagné, aujourd’hui, de son plus jeune fils Sonny Amati qui est, aussi, un guitariste incroyable. C’est une grande famille de musiciens. Pour eux, Patrimonio est un festival qui compte, et Dorado est fier de nous faire découvrir son fils. Pour nous, ce sont des amis et cela nous fait plaisir de les accueillir. Angelo Debarre avec Marius Apostol au violon et tout le quintet nous promettent un deuxième grand moment de musique manouche. Ce sera une très belle soirée tsigane !
- Lui succède la Nuit du Brésil avec un autre revenant et la promesse d’une autre très belle nuit ?
- Ah ! Une nuit incroyable ! Le Trio Aquarela est superbe ! Il suffit d’aller sur You Tube ou sur notre site, une simple écoute montre qu’on prendra énormément de plaisir à entendre ce trio. Joào Bosco est un monument de la musique brésilienne, au même titre qu’un Gilberto Gil, un Giorgio Bel… C’est de la musique traditionnelle brésilienne de très grande qualité. En plus Joào Bosco a invité Hamilton De Holanda dans son quintet. C’est la cerise sur le gâteau ! Hamilton est un bandoliniste incoyable. Nous attendons cette soirée avec beaucoup d’impatience.
- A la suite, une soirée Jazz avec un maestro et un inconnu qui est votre coup de cœur ?
- Oui ! En première partie, Snips Trio, c’est terrible ! Matteo Mancuso, le petit guitariste, qui mène le trio, n’a pas 20 ans, mais est juste hallucinant ! Incroyable ! C’est un ami guitariste corse, Jean-François Oricelli, qui me l’a fait découvrir. Il m’a envoyé un lien vidéo. Quand j’ai entendu, j’ai halluciné ! J’ai découvert en faisant des recherches que c’était un trio composé d’un bassiste tout aussi incroyable et d’un batteur. Ce trio, qui n’a pas encore un an d’existence, est déjà programmé dans tous les grands festivals de jazz italien. Nous sommes ravis de les accueillir à Patrimonio. Pour passer derrière eux, il fallait du costaud en seconde partie. C’est le cas avec Biréli Lagrène qui est l’un des plus grands guitaristes du monde. Il sera à la basse, il ne l’a jamais fait avant, mais il mourrait d’envie de rendre hommage à un mythe de la guitare basse, son maître Jaco Pastorius, avec lequel il a fait plusieurs albums et plusieurs séries de concerts. Un grand moment de musique, de guitare et de basse en perspective.
- Autre retour, celui de Johnny Gallagher après un concert d’anthologie en 2012… et Imany. Là aussi, succès assuré ?
- Johnny, c’est notre ami. C’est normal qu’il revienne de temps en temps. Il a écrit une chanson magnifique sur Patrimonio, pleine de choses vraies, touchantes… Il a tellement de charisme et de talent. En seconde partie, Imany est une nouvelle star de la chanson. C’est un mannequin qui s’est lancée avec beaucoup de bonheur dans la chanson et la composition. Elle est attendue. Les jeunes l’aiment beaucoup. C’est une très belle artiste.
- Le festival débute par une soirée guitare qui semble être votre soirée préférée ?
- Ce n’est pas ma préférée, mais c’est une soirée que je ne raterais pour rien au monde ! C’es une soirée énorme avec deux guitaristes chanteurs : Eric Gales est un guitariste blues-rock vraiment incroyable qui est comparé, aux Etats-Unis, à Jimmy Hendrix. Même si Hendrix est un mythe, la comparaison n’est pas totalement usurpée. Richie Kotzen est un guitariste hors norme qu’on suit depuis quelques années et qu’on voulait à tous prix avoir à Patrimonio. Enfin, il est là ! Les fans de guitare, et il y en a, sont ravis. Ceux, qui ne sont pas encore fan de Richie Kotzen, iront écouter et ils se diront que c’est un guitariste à ne pas rater ! C’est un Guitare Hero ! Il a un répertoire énorme, il a même collaboré sur un album avec Stanley Clarke qui est un monument du jazz et de la contrebasse ! C’est quelqu’un qui touche à tout avec un égal bonheur.
- Etes-vous satisfait de cette édition ?
- Je ne suis jamais content d’emblée ! J’ai trop de choses en tête, puis je me familiarise petit à petit avec la programmation. C’est un peu comme un enfant que l’on découvre. Très vite, on commence à l’aimer.
- Après presque 30 ans, c’est-à-dire une génération, votre enthousiasme et votre envie sont-ils intacts ?
- Oui ! L’envie est toujours là. L’amour de la musique et de la guitare est intact. Les difficultés de plus en plus croissantes ne vont-elles pas ébrécher tout cela ? Je ne sais pas encore. On n’est pas inoxydable ! Pour le moment, nous sommes optimistes. C’est dans notre tempérament. Si nous ne l’étions pas, nous ne serions jamais arrivés à 29 ans ! Après, on verra…
Propos recueillis par Nicole MARI
Programme du 20 au 27 juillet 2018 au Théâtre de Verdure de Patrimoniu
- 20 juillet : ERIC GALES BAND / RICHIE KOTZEN
- 21 juillet : ANTOINE BOYER & SAMUELITO / JULIEN DORÉ
- 22 juillet : NUIT DES TSIGANES : DORADO & AMATI SCHMITT QUARTET/ ANGELO DEBARRE & MARIUS APOSTOL « GIPSY UNITY »
- 23 juillet : NUIT DU BRESIL : TRIO AQUARELA / JOAO BOSCO GRUPO & HAMILTON DE HOLANDA
- 24 juillet : SNIPS TRIO/ BIRELI LAGRENE ELECTRIC QUARTET « REMEMBER JACO PASTORIUS »
- 25 juillet : LAURA COX BAND / TEXAS
- 26 juillet : JOHNNY GALLAGHER & THE BOXTIE BAND / IMANY
- 27 juillet : JULIEN CLERC / VERONIQUE SANSON
Infos Pratiques
Parkings aménagés sur la route en direction de Saint-Florent.
Ouverture des portes à 20h. Sauf pour la soirée du 27 juillet : ouverture des portes à 19h.
Début des concerts à 21h30. Sauf pour la soirée du 27 juillet : début des concerts à 20h30.
Les prix :
- 29 € la soirée du 20 juillet
- 32 € la soirée, les 22 et 24 juillet
- 35 € la soirée, les 23 et 26 juillet
- 40 € la soirée, les 21 et 25 juillet
- 48 € la soirée du 27 juillet
Abonnements :
- 4 soirées : 125 €
- 5 soirées : 140 €
- 6 soirées : 155 €
- 7 soirées : 170 €
- 8 soirées : 180 €
- Tarif réduit (jeunes entre 10 et 15 ans) : 20 € du 20 au 26, 30 € le 27.
- Chèques Pass Cultura acceptés.
- Tarif C.E. (groupe) : -3 € du tarif normal
Billetteries
Ajaccio : Blanc Lumine, Vibrations
Bastia : Chorus, Boutique Alexandre, Espace Media
Borgo : Boutique Alexandre
Calvi : Bar Le Rex
Corte : Musica Vostra
Ghisonaccia : Espace Image
Patrimoniu : Bureau du Festival, Epicerie “U Spurtellu-Amadei”
Saint Florent : Tamarella souvenirs.
Sur le site du festival : www.festival-guitare-patrimonio-com
- 20 juillet : ERIC GALES BAND / RICHIE KOTZEN
- 21 juillet : ANTOINE BOYER & SAMUELITO / JULIEN DORÉ
- 22 juillet : NUIT DES TSIGANES : DORADO & AMATI SCHMITT QUARTET/ ANGELO DEBARRE & MARIUS APOSTOL « GIPSY UNITY »
- 23 juillet : NUIT DU BRESIL : TRIO AQUARELA / JOAO BOSCO GRUPO & HAMILTON DE HOLANDA
- 24 juillet : SNIPS TRIO/ BIRELI LAGRENE ELECTRIC QUARTET « REMEMBER JACO PASTORIUS »
- 25 juillet : LAURA COX BAND / TEXAS
- 26 juillet : JOHNNY GALLAGHER & THE BOXTIE BAND / IMANY
- 27 juillet : JULIEN CLERC / VERONIQUE SANSON
Infos Pratiques
Parkings aménagés sur la route en direction de Saint-Florent.
Ouverture des portes à 20h. Sauf pour la soirée du 27 juillet : ouverture des portes à 19h.
Début des concerts à 21h30. Sauf pour la soirée du 27 juillet : début des concerts à 20h30.
Les prix :
- 29 € la soirée du 20 juillet
- 32 € la soirée, les 22 et 24 juillet
- 35 € la soirée, les 23 et 26 juillet
- 40 € la soirée, les 21 et 25 juillet
- 48 € la soirée du 27 juillet
Abonnements :
- 4 soirées : 125 €
- 5 soirées : 140 €
- 6 soirées : 155 €
- 7 soirées : 170 €
- 8 soirées : 180 €
- Tarif réduit (jeunes entre 10 et 15 ans) : 20 € du 20 au 26, 30 € le 27.
- Chèques Pass Cultura acceptés.
- Tarif C.E. (groupe) : -3 € du tarif normal
Billetteries
Ajaccio : Blanc Lumine, Vibrations
Bastia : Chorus, Boutique Alexandre, Espace Media
Borgo : Boutique Alexandre
Calvi : Bar Le Rex
Corte : Musica Vostra
Ghisonaccia : Espace Image
Patrimoniu : Bureau du Festival, Epicerie “U Spurtellu-Amadei”
Saint Florent : Tamarella souvenirs.
Sur le site du festival : www.festival-guitare-patrimonio-com