« Vaincre la maladie, c’est bien, la prévenir, c’est mieux ». Le slogan de l’ARCODECA a trouvé, ce vendredi 31 mars, tout son sens à l’occasion d’une journée nationale de prévention des cancers. Une journée qui concerne, tout particulièrement, le cancer colorectal. Et une campagne de dépistage entamée en août 2015 sur le territoire insulaire avec des résultats particulièrement probants : 7700 tests effectués pour 500 positifs dont 100 patients présentant des polypes et, 7 cas de cancer décelés. Réussite totale avec la guérison pour chacun des patients atteints du fléau. « L’objectif, explique le docteur Joseph Orabona, directeur de l’ARCODECA, consiste à dépister au plus vite afin de prendre les patients à temps et de les guérir. Sur ce point, le taux de réussite est important : 9 cancers sur 10 décelés grâcfe au dépistage, donc en amont, son guéris. D’où la nécessité, pour nous, d’informer et de sensibiliser la population par le biais, justement, de ces journées. »
Sur le stand présenté à l’entrée de l’hypermarché Géant de Mezzavia, divers formulaires destinés au public : présentation de l’ARCODECA, comment s’alimenter en cas de traitement, modalité de dépistage, questionnaire ainsi qu’une structure gonflable représentant le colon et expliquant les polypes et les zones cancéreuses. « Cela fait partie de l’information, poursuit le docteur Orabona, on doit, à travers les tests, déceler si le patient a des saignements dans les selles. Si tel est le cas, ils proviennent de polypes. Les tests indiquent s’il y a, ou non, saignements. S’ils sont négatifs, le patient est invité à passer les tests deux ans après. Dans le cas contraire, il est dirigé vers son médecin généraliste puis, si les saignements proviennent de plus grosses structures, visiblement cancéreuses, vers un gastro-entérologue. Il est important de travailler en amont car les polypes peuvent être soignés très rapidement. En revanche, si l’on ne fait rien, la zone peut devenir cancéreuse mais elle met très longtemps (10 ans). »
Ce test, entièrement libre et gratuit, concerne les personnes, hommes ou femmes, âgées de 50 à 74 ans et ne présentant aucun symptômes. Cette journée a connu, comme la précédente, un grand succès avec plus de 120 personnes venues se renseigner. La même initiative va se poursuivre, ce samedi, à Porto-Vecchio.
Sur le stand présenté à l’entrée de l’hypermarché Géant de Mezzavia, divers formulaires destinés au public : présentation de l’ARCODECA, comment s’alimenter en cas de traitement, modalité de dépistage, questionnaire ainsi qu’une structure gonflable représentant le colon et expliquant les polypes et les zones cancéreuses. « Cela fait partie de l’information, poursuit le docteur Orabona, on doit, à travers les tests, déceler si le patient a des saignements dans les selles. Si tel est le cas, ils proviennent de polypes. Les tests indiquent s’il y a, ou non, saignements. S’ils sont négatifs, le patient est invité à passer les tests deux ans après. Dans le cas contraire, il est dirigé vers son médecin généraliste puis, si les saignements proviennent de plus grosses structures, visiblement cancéreuses, vers un gastro-entérologue. Il est important de travailler en amont car les polypes peuvent être soignés très rapidement. En revanche, si l’on ne fait rien, la zone peut devenir cancéreuse mais elle met très longtemps (10 ans). »
Ce test, entièrement libre et gratuit, concerne les personnes, hommes ou femmes, âgées de 50 à 74 ans et ne présentant aucun symptômes. Cette journée a connu, comme la précédente, un grand succès avec plus de 120 personnes venues se renseigner. La même initiative va se poursuivre, ce samedi, à Porto-Vecchio.