Una plage sarde
« Nous demandons à toute personne souhaitant prendre un bateau ou un avion pour la Sardaigne de se présenter avec la carte d'embarquement, le document d'identité et un certificat de prélèvement négatif délivré par tout laboratoire agréé au plus tard sept jours avant la date de départ" ».
Voici la première mesure que le gouverneur de la Sardaigne, Christian Solinas, souhaite adopter pour régler les entrées sur son ile à partir du 1er juin.
En effet même si l'Italie a entamé ce lundi 4 mai son deconfinement, les escales portuaires et aéroportuaires sardes sont encore fermées au passagers et devraient rouvrir progressivement dès le mois de juin.
Pour concilier la reprise économique de la Sardaigne et la sécurité des ses habitants, le gouverneur a donc imaginé un plan qui sera soumis dans la semaine au gouvernement italien.
Que prévoit le projet sarde ?
Un passeport sanitaire
Ceux qui veulent aller en Sardaigne devront justifier d'un test PCR négatif au Covid-19 .
Tout passager devra présenter un certificat de prélèvement négatif délivré par tout laboratoire agréé au plus tard 7 jours avant la date de départ, sinon il y a un risque d'être bloqué à l'aéroport ou à la gare maritime.
"La mise en place d'un passeport sanitaire régulera les flux entrants, affirme le gouverneur, et pourra être une façon de concilier la vie touristique en réduisant les risques sanitaires.".
Des contrôles supplémentaires sur place
"Une fois arrivés en Sardaigne, les passagers devront faire un test rapide que nous effectuerons dans les ports et aéroports, puis télécharger une application de traçage qui nous permettra de suivre les mouvements et les contacts des vacanciers afin de limiter les épidémies dans l'œuf et éviter une nouvelle propagation", souligne le gouverneur dans une interview au quotidien Il Fatto Quotidiano.
Solinas espère que ce système pourra déjà être testé en mai à travers le redémarrage des premiers vols privés, afin "de nous permettent d'expérimenter ce modèle sur de petits nombres".
Attention à la courbe épidemique
Le gouverneur de la Sardaigne précise aussi aux confrères de Il Fatto Quotidiano qu'il faudra vérifier constamment "la tendance de la courbe de contagion". Et qu’à tout moment les mesures pourraient évoluer et se resserrer.
La propagation du virus en Sardaigne a été parmi les plus faibles d'Italie et a touché seulement le 0,07% de la population.
Voici la première mesure que le gouverneur de la Sardaigne, Christian Solinas, souhaite adopter pour régler les entrées sur son ile à partir du 1er juin.
En effet même si l'Italie a entamé ce lundi 4 mai son deconfinement, les escales portuaires et aéroportuaires sardes sont encore fermées au passagers et devraient rouvrir progressivement dès le mois de juin.
Pour concilier la reprise économique de la Sardaigne et la sécurité des ses habitants, le gouverneur a donc imaginé un plan qui sera soumis dans la semaine au gouvernement italien.
Que prévoit le projet sarde ?
Un passeport sanitaire
Ceux qui veulent aller en Sardaigne devront justifier d'un test PCR négatif au Covid-19 .
Tout passager devra présenter un certificat de prélèvement négatif délivré par tout laboratoire agréé au plus tard 7 jours avant la date de départ, sinon il y a un risque d'être bloqué à l'aéroport ou à la gare maritime.
"La mise en place d'un passeport sanitaire régulera les flux entrants, affirme le gouverneur, et pourra être une façon de concilier la vie touristique en réduisant les risques sanitaires.".
Des contrôles supplémentaires sur place
"Une fois arrivés en Sardaigne, les passagers devront faire un test rapide que nous effectuerons dans les ports et aéroports, puis télécharger une application de traçage qui nous permettra de suivre les mouvements et les contacts des vacanciers afin de limiter les épidémies dans l'œuf et éviter une nouvelle propagation", souligne le gouverneur dans une interview au quotidien Il Fatto Quotidiano.
Solinas espère que ce système pourra déjà être testé en mai à travers le redémarrage des premiers vols privés, afin "de nous permettent d'expérimenter ce modèle sur de petits nombres".
Attention à la courbe épidemique
Le gouverneur de la Sardaigne précise aussi aux confrères de Il Fatto Quotidiano qu'il faudra vérifier constamment "la tendance de la courbe de contagion". Et qu’à tout moment les mesures pourraient évoluer et se resserrer.
La propagation du virus en Sardaigne a été parmi les plus faibles d'Italie et a touché seulement le 0,07% de la population.