« Se réunir pour danser sur la musique que l’on aime, c’est ce que l’on fait depuis pas mal d’années déjà dans des clubs, des caves, sur des toits, des terrains de foot ou au milieu de nulle part. Notre festival est une manière de partager ça avec le plus grand nombre, à la maison » explique Anaïs Monet une des conceptrices de la manifestation voilà 4 ans avec François Dagregorio. « On fait venir des artistes que l’on aime, des artistes qui ont envie d’être là, qui adhèrent au projet, qu’ils viennent d’ici ou d’ailleurs. Artistes émergents ou talents confirmés. Ballà Boum veut réunir toutes les générations. A l’image d’un bal moderne, nos portes sont ouvertes à tous. Aux curieux, aux passionnés, aux sceptiques, aux bons et aux mauvais danseurs. Peu importe. C’est ce mélange improbable qui est depuis 4 ans maintenant notre plus belle réussite, et notre signature ». L’idée un peu folle au départ, dans une île où déjà les manifestations sont nombreuses en été, a fait son chemin. « On a voulu installer Ballà Boum Festival dans le paysage des évènements insulaires. Sans hâte ni prétention, avec prudence, nous avons essayé d’asseoir notre identité, de trouver notre public, d’atteindre un équilibre financier. Pour cela nous avons fait des choix. Des choix qui nous restreignent parfois aujourd’hui, des choix qui font que nous ne remplirons probablement jamais le théâtre de verdure de Patrimoniu, ni ne ferons de marges astronomiques à nos comptoirs, peu importe. Nous sommes indépendants. Indépendants de tout sponsors commerciaux, libres dans nos idées artistiques et nous avons à nos côtés des partenaires pour qui l’exigence est un gage de qualité. Nous sommes une équipe. Une véritable famille qui consacre du temps et met ses compétences au service du projet, une équipe de professionnels sans qui ce festival n’aurait jamais été si bien mené ». Ballà Boum c’est de la musique, mais pas que ! On s’intéresse aussi aux contenus des assiettes et des verres ! « Déjà nous proposons des produits, nourriture et boisson, 100% locales. Des produits de qualité parce que la danse, ça demande pas mal d’énergie ». Cette 4ème édition se déroulera les 23 et 24 août prochains.
Au programme : Acid Child, Charlotte Adigéry, Curses, Harvey Sutherland, Jex Opolis, Point G, Simple Symmetry.
Acid Child s’est formé à Ajaccio en 2015, un groupe trio d’electronica et rock’n roll. Après près de 3 ans passés à Manchester, Nicolas et Seymour sont de retour sur scène avec une partie de leur futur album « Emphasize ».
Charlotte Adigéry : En 2016, les frères belges David et Stephen Dewaele, producteurs de Soulwax, sollicitent Charlotte Adigèry pour faire du playback dans le film Belgica (2016). Ils constatent rapidement que Charlotte peut faire bien mieux que du playback et chanter tout simplement. Le titre The Best Song qui figure au final sur la B.O. de Belgica permet à Charlotte Adigèry de sortir de l'anonymat ! En 2019, elle publie « Zandoli », qui marie les Antilles et une électronica sombre avec des titres comme « High Lights » ou « Paténipat » dont le phrasé répété inviterait à la transe d'une cérémonie vaudou.
Curses : New-yorkais exilé à Berlin, Curses offre une musique à la fois musclée et aérienne où se mélangent guitares, vocaux fantômes et synthés. Sur scène, il donne un show sombre à l’énergie rock.
Harvey Sutherland : Producteur, Dj, « Funk synthetist » comme il aime se définir lui même, Harvey Sutherland s’est fait une place de choix dans l’underground électronique australien. Il débarque cet été en Europe pour quelques très rares dates avec son nouveau format à la frontière entre un jazz léger et une « soul breakbeatée » électroniquement vitaminée. Un nouveau live « trio » : claviers, basse, batterie.
Jex Opolis : Producteur aux multiples facettes, DJ, boss du label « Good timin » depuis 2013, Jex Opolis nous livre une musique par moment difficilement déninissable. House, Funk, Balearic, ce canadien exilé à New-York explore avec ses titres de nombreux territoires de la « musique dansante » tout en ralentissant par moment le tempo pour prendre le micro et placer sa voix sur des tracks plus pop.
Point G : Lorsqu'il débuta en 1997, Grégory Darsa n’aurait pas imaginé que ce pseudonyme, reviendrait sur le devant de la scène 20 ans plus tard. A l’époque complètement à contre courant avec des productions très « rough » aux rythmes dépouillés, Point G fut mis de côté au profit de son alias Dj Grégory qui fera le bonheur notamment des compilations « Africanism ». De retour dans les sets de personnalités comme Nina Kraviz, Dan Ghenacia ou Joe Claussell, les titres de Point G prennent enfin tout leur sens, des années plus tard. Il sera sur scène avec son nouveau live.
Simple Symmetry : Sasha et Sergey Lipsky, deux frères nés et élevés à Moscou composent Simple Symmetry. Dans la lignée des israéliens de Red Axes ou des italiens de Marvin & Guy, leur capacité à torpiller les dancefloors avec leurs édits ou remixes les poussent à sortir très vite de leur Russie natale. A Patrimonio, ils feront baigner le public dans un mélange de paillettes, de liesse et de sueur.
Ballà Boum (WWW.BALLABOUM.COM)
Théâtre de verdure de Patrimonio
Vendredi 23 août
19H00 - 22H15 : Cabane Disco / LE DISKO "Takeover" (DJ Set)
22H15 - 23H15 : Jex Opolis (live)
23H30 - 00H30 : Curses (live)
00H30 - Fin : POINT G (live)
Samedi 24 août
19H00 - 21H20 : Cabane Disco / LE DISKO "Takeover" (DJ Set)
21H20 - 22H00 : ACID CHILD
22H15 - 23H15: Charlotte Adigéry (live)
23H30 - 00H30: Harvey Sutherland (live)
00H30 - Fin : Simple Symmetry (DJ Set)
Au programme : Acid Child, Charlotte Adigéry, Curses, Harvey Sutherland, Jex Opolis, Point G, Simple Symmetry.
Acid Child s’est formé à Ajaccio en 2015, un groupe trio d’electronica et rock’n roll. Après près de 3 ans passés à Manchester, Nicolas et Seymour sont de retour sur scène avec une partie de leur futur album « Emphasize ».
Charlotte Adigéry : En 2016, les frères belges David et Stephen Dewaele, producteurs de Soulwax, sollicitent Charlotte Adigèry pour faire du playback dans le film Belgica (2016). Ils constatent rapidement que Charlotte peut faire bien mieux que du playback et chanter tout simplement. Le titre The Best Song qui figure au final sur la B.O. de Belgica permet à Charlotte Adigèry de sortir de l'anonymat ! En 2019, elle publie « Zandoli », qui marie les Antilles et une électronica sombre avec des titres comme « High Lights » ou « Paténipat » dont le phrasé répété inviterait à la transe d'une cérémonie vaudou.
Curses : New-yorkais exilé à Berlin, Curses offre une musique à la fois musclée et aérienne où se mélangent guitares, vocaux fantômes et synthés. Sur scène, il donne un show sombre à l’énergie rock.
Harvey Sutherland : Producteur, Dj, « Funk synthetist » comme il aime se définir lui même, Harvey Sutherland s’est fait une place de choix dans l’underground électronique australien. Il débarque cet été en Europe pour quelques très rares dates avec son nouveau format à la frontière entre un jazz léger et une « soul breakbeatée » électroniquement vitaminée. Un nouveau live « trio » : claviers, basse, batterie.
Jex Opolis : Producteur aux multiples facettes, DJ, boss du label « Good timin » depuis 2013, Jex Opolis nous livre une musique par moment difficilement déninissable. House, Funk, Balearic, ce canadien exilé à New-York explore avec ses titres de nombreux territoires de la « musique dansante » tout en ralentissant par moment le tempo pour prendre le micro et placer sa voix sur des tracks plus pop.
Point G : Lorsqu'il débuta en 1997, Grégory Darsa n’aurait pas imaginé que ce pseudonyme, reviendrait sur le devant de la scène 20 ans plus tard. A l’époque complètement à contre courant avec des productions très « rough » aux rythmes dépouillés, Point G fut mis de côté au profit de son alias Dj Grégory qui fera le bonheur notamment des compilations « Africanism ». De retour dans les sets de personnalités comme Nina Kraviz, Dan Ghenacia ou Joe Claussell, les titres de Point G prennent enfin tout leur sens, des années plus tard. Il sera sur scène avec son nouveau live.
Simple Symmetry : Sasha et Sergey Lipsky, deux frères nés et élevés à Moscou composent Simple Symmetry. Dans la lignée des israéliens de Red Axes ou des italiens de Marvin & Guy, leur capacité à torpiller les dancefloors avec leurs édits ou remixes les poussent à sortir très vite de leur Russie natale. A Patrimonio, ils feront baigner le public dans un mélange de paillettes, de liesse et de sueur.
Ballà Boum (WWW.BALLABOUM.COM)
Théâtre de verdure de Patrimonio
Vendredi 23 août
19H00 - 22H15 : Cabane Disco / LE DISKO "Takeover" (DJ Set)
22H15 - 23H15 : Jex Opolis (live)
23H30 - 00H30 : Curses (live)
00H30 - Fin : POINT G (live)
Samedi 24 août
19H00 - 21H20 : Cabane Disco / LE DISKO "Takeover" (DJ Set)
21H20 - 22H00 : ACID CHILD
22H15 - 23H15: Charlotte Adigéry (live)
23H30 - 00H30: Harvey Sutherland (live)
00H30 - Fin : Simple Symmetry (DJ Set)