La fin de l'acharnement judiciaire contre les militants nationalistes
Derrière ce message, les membres de l’Associu Sulidarità et du collectif Patriotti entendent surtout dénoncer le traitement que subissent les militants de la part de l’État. Selon eux, les pouvoirs publics multiplieraient les tentatives d’intimidation, les procédures judiciaires injustes et abusives à l’encontre des militants nationalistes. « Récemment, il y a eu un an de prison avec sursis demandé contre un militant, alors qu’au début la justice parlait de 500€ d’amende. Et deux autres militants ont été jugés la semaine dernière. On voit très bien que la répression continue, c’est infamant pour nous », déplorent-ils. En cause notamment, le Fichier des auteurs d’infractions terroristes (FIJAIT), un dispositif créé en juin 2016, dans la foulée des attentats terroristes qui ont endeuillé la France, auquel sont soumis certains militants nationalistes, au même titre que des islamistes radicaux. « Nous ne sommes pas des terroristes, nous sommes des résistants », plaident notamment les membres des deux associations qui appellent à un assouplissement des règles à ce sujet.
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