Le 19 juillet 2011, Pierre Rolland (à gauche) remportait l'étape de l'Alpe d'Huez en fin de Tour de France. Le plus beau succès de sa carrière.
- Vous avez mis un terme à votre carrière professionnelle fin 2022. Qu’est ce qui vous a amène, aujourd’hui, à participer à la Corsica Cyclo GT 20 ?
- Dans le cadre de ma reconversion professionnelle, j’ai cofondé une agence de voyage à vélo, qui propose différents types de séjours. Ce travail m’a amené à rencontrer tout un tas de personnes du milieu, dont les organisateurs de la Corsica Cyclo GT 20. Et pour moi, c’était une évidence de participer. Déjà parce que la Corse va faire partie des destinations que l’on va mettre en avant dans notre agence de voyages, mais aussi parce que, à titre personnel, j’adore y aller, que ce soit pour des vacances que pour des stages d’entraînement.
- Quel va être votre objectif sur l’épreuve ?
- Je viens sans esprit de compétition ! Pour moi, le vélo, c’est un moyen de découvrir. S’il y a un point de vue, je prendrai le temps de m’arrêter. S’il y a quelqu’un au bord de la route, je prendrai le temps de partager un moment avec lui. L’objectif, c’est avant tout de passer un bon moment, un moment convivial, et d’être présent avec les organisateurs et les gens sur place.
- Vous semblez connaître la Corse. Au cours de votre carrière, avez-vous eu l’occasion de venir rouler ici ?
- Forcément, avant le Tour de France en 2013, qui partait de Porto-Vecchio, on a fait des stages de reconnaissance avec l’équipe. Mais j’ai aussi fait des stages personnels en 2016 et en 2017. C’est une super destination, dès que l’occasion se présente, je suis prêt à y aller.
- Justement, quel souvenir gardez-vous du grand départ du Tour de France 2013 ?
- C’était bien, un beau départ. Trois jours avec des parcours à couper le souffle. C’était magnifique, et en plus, je suis sorti de la Corse avec le maillot à pois (du meilleur grimpeur, NLDR), donc je n’ai pas fait le voyage pour rien. C’était une super expérience, et un très bon souvenir sportif.
- D’un point de vue cycliste, qu’est-ce que vous évoque la Corse ? Plutôt les belles routes de bord de mer, ou les montées de cols ?
- Avoir les deux sur place, c’est vraiment le gros avantage. En partant du niveau de la mer, on peut monter, je crois, jusqu’à 1 500 mètres d’altitude (le col de Verghju, 1477 m, NDLR). C’est d’ailleurs pour ça que la Corse aura une place importante dans notre agence. Le terrain de jeu est assez dingue : la topographie est géniale, les cols sont des espaces protégés, c’est sauvage… Je comprends que le peuple corse se batte pour préserver ces espaces naturels.
- Pour finir, lors de vos différents voyages sur l’île, avez-vous un endroit, en particulier, qui vous a marqué à vélo ?
- C’est dur de donner une seule réponse tellement la Corse regorge de coins magnifique, c’est beau partout ! Et puis je ne connais pas assez l’île pour dire ‘cet endroit est le plus beau’. Mais je retiens surtout la petite route tortueuse entre Bastia et L’Ile-Rousse. Le col de Bavella, aussi, c’est exceptionnel...
Le parcours 2023 de la Corsica Cyclo GT 20 (18-21mai) :
Étape 1: Bastia-Patrimonio (108 kilomètres, dont 64 chronométrés)
Étape 2 : Patrimonio-Porto (192 kilomètres non chronométrés)
Étape 3 : Porto-Ghisoni (146 kilomètres, dont 74 chronométrés)
Étape 4 : Ghisoni-Bonifacio (152 kilomètres, dont 76 chronométrés
- Dans le cadre de ma reconversion professionnelle, j’ai cofondé une agence de voyage à vélo, qui propose différents types de séjours. Ce travail m’a amené à rencontrer tout un tas de personnes du milieu, dont les organisateurs de la Corsica Cyclo GT 20. Et pour moi, c’était une évidence de participer. Déjà parce que la Corse va faire partie des destinations que l’on va mettre en avant dans notre agence de voyages, mais aussi parce que, à titre personnel, j’adore y aller, que ce soit pour des vacances que pour des stages d’entraînement.
- Quel va être votre objectif sur l’épreuve ?
- Je viens sans esprit de compétition ! Pour moi, le vélo, c’est un moyen de découvrir. S’il y a un point de vue, je prendrai le temps de m’arrêter. S’il y a quelqu’un au bord de la route, je prendrai le temps de partager un moment avec lui. L’objectif, c’est avant tout de passer un bon moment, un moment convivial, et d’être présent avec les organisateurs et les gens sur place.
- Vous semblez connaître la Corse. Au cours de votre carrière, avez-vous eu l’occasion de venir rouler ici ?
- Forcément, avant le Tour de France en 2013, qui partait de Porto-Vecchio, on a fait des stages de reconnaissance avec l’équipe. Mais j’ai aussi fait des stages personnels en 2016 et en 2017. C’est une super destination, dès que l’occasion se présente, je suis prêt à y aller.
- Justement, quel souvenir gardez-vous du grand départ du Tour de France 2013 ?
- C’était bien, un beau départ. Trois jours avec des parcours à couper le souffle. C’était magnifique, et en plus, je suis sorti de la Corse avec le maillot à pois (du meilleur grimpeur, NLDR), donc je n’ai pas fait le voyage pour rien. C’était une super expérience, et un très bon souvenir sportif.
- D’un point de vue cycliste, qu’est-ce que vous évoque la Corse ? Plutôt les belles routes de bord de mer, ou les montées de cols ?
- Avoir les deux sur place, c’est vraiment le gros avantage. En partant du niveau de la mer, on peut monter, je crois, jusqu’à 1 500 mètres d’altitude (le col de Verghju, 1477 m, NDLR). C’est d’ailleurs pour ça que la Corse aura une place importante dans notre agence. Le terrain de jeu est assez dingue : la topographie est géniale, les cols sont des espaces protégés, c’est sauvage… Je comprends que le peuple corse se batte pour préserver ces espaces naturels.
- Pour finir, lors de vos différents voyages sur l’île, avez-vous un endroit, en particulier, qui vous a marqué à vélo ?
- C’est dur de donner une seule réponse tellement la Corse regorge de coins magnifique, c’est beau partout ! Et puis je ne connais pas assez l’île pour dire ‘cet endroit est le plus beau’. Mais je retiens surtout la petite route tortueuse entre Bastia et L’Ile-Rousse. Le col de Bavella, aussi, c’est exceptionnel...
Le parcours 2023 de la Corsica Cyclo GT 20 (18-21mai) :
Étape 1: Bastia-Patrimonio (108 kilomètres, dont 64 chronométrés)
Étape 2 : Patrimonio-Porto (192 kilomètres non chronométrés)
Étape 3 : Porto-Ghisoni (146 kilomètres, dont 74 chronométrés)
Étape 4 : Ghisoni-Bonifacio (152 kilomètres, dont 76 chronométrés