Avant de revenir définitivement en Corse, elle avait travaillé dans divers cabinets ministériels, ce qui suffit amplement à définir la rigueur et la qualité qui entouraient les dossiers dont elle avait la charge. Mais la défunte, n’était pas que cela. Elle était une féministe convaincue, une corsiste de toujours. Ce qui revient à dire qu’elle avait des convictions chevillées au cœur et à l’esprit. Profondément laïque, elle appliquait ce principe dans la sphère politique, veillant systématiquement au principe de neutralité.
A son actif, on peut notamment citer la création du guide touristique de la commune. La mise en place du mouillage organisé, l’adhésion de Pietrosella aux ports de plaisance de la Corse. Sans oublier la défense de la langue Corse et la publication de la tribune bilingue dans le journal communal.
Ses obsèques ont été célébrées vendredi en l’église Sainte Monique en présence d’une foule émue et recueillie. Lors du requiem, le prêtre officiant sut dire avec des mots simples les qualités de celle qui aimait dire avec Napoléon « je reconnaitrais mon île les yeux fermés, rien qu’à l’odeur du maquis portée sur les flots. »
L’inhumation a eu lieu dans le caveau familial où elle repose à jamais. Bercée par le murmure de la mer et le bruissement du vent.
Puisse la terre qui l’ensevelit désormais lui être légère, elle qui l’a tant aimée. Le maire, Jean-Baptiste Luccioni, le conseil municipal et la population s’inclinent devant cette tombe prématurément ouverte, dépose une brassée de fleurs des champs et adresse à son époux Jean-Jacques, à ses deux fils Yann et Antoine, ainsi qu’à toutes les personnes que ce deuil afflige l’expression de ses condoléances attristées.
A son actif, on peut notamment citer la création du guide touristique de la commune. La mise en place du mouillage organisé, l’adhésion de Pietrosella aux ports de plaisance de la Corse. Sans oublier la défense de la langue Corse et la publication de la tribune bilingue dans le journal communal.
Ses obsèques ont été célébrées vendredi en l’église Sainte Monique en présence d’une foule émue et recueillie. Lors du requiem, le prêtre officiant sut dire avec des mots simples les qualités de celle qui aimait dire avec Napoléon « je reconnaitrais mon île les yeux fermés, rien qu’à l’odeur du maquis portée sur les flots. »
L’inhumation a eu lieu dans le caveau familial où elle repose à jamais. Bercée par le murmure de la mer et le bruissement du vent.
Puisse la terre qui l’ensevelit désormais lui être légère, elle qui l’a tant aimée. Le maire, Jean-Baptiste Luccioni, le conseil municipal et la population s’inclinent devant cette tombe prématurément ouverte, dépose une brassée de fleurs des champs et adresse à son époux Jean-Jacques, à ses deux fils Yann et Antoine, ainsi qu’à toutes les personnes que ce deuil afflige l’expression de ses condoléances attristées.