Cette réunion s'est bien tenue jeudi à Paris. C'est la raison pour laquelle, le président du conseil exécutif n'a pas siégé lors de la première journée de session de l'assemblée de Corse.
On ne va pas reprendre ici l'essentiel de ce projet qui a déjà fait couler beaucoup d'encre et de salive sur la place Saint-Nicolas de Bastia mais il faut quand même rappeler que le nouveau port de la Carbonite, qui générerait plus d'un millier d'emploi supplémentaires, disposerait de quais plus adaptée aux navires actuels - de195 et 340 mètres - avec 173 000 m2 de terre-plein pour l'organisation des flux, d'une zone d'embarquement de 78 000 m2 pour accueillir 3 900 véhicules, d'une aire de manutention de 71 000 m2 pour stocker 630 remorques et d'une zone publique de 24 000 m2 d'aires de stationnement dévolues aux usagers et aux employés.
Sa construction avoisinerait les 300 M€ auxquels il faudrait ajouter près de la moitié de cette somme pour tous les aménagements périphériques, voies d'accès, réseaux, etc.
On sait, aussi, que le 5 octobre dernier le projet a reçu le feu vert du Conseil scientifique régional du patrimoine naturel.
La deuxième étape s'est déroulée donc jeudi avec avec l'audition du président du Conseil exécutif et du préfet de Corse devant le Conseil national de la protection de la nature, au ministère du Développement durable.
Il s'agissait pour la circonstance d'accorder, ou non, la dérogation nécessaire pour porter atteinte aux espèces protégées, ici l'herbier de Posidonie, au vu des mesures d'accompagnement environnementales arrêtées par la CTC.
Selon ce qu'il nous a été donné d'apprendre, Paul Giacobbi et le préfet de Haute-Corse auraient obtenu un "avis favorable".
Dès lors la prochaine étape du projet de grand port de Bastia se jouera sur les bancs de l'assemblée de Corse où il devra être approuvé par une majorité d'élus territoriaux...
Nous vous en reparlerons.
On ne va pas reprendre ici l'essentiel de ce projet qui a déjà fait couler beaucoup d'encre et de salive sur la place Saint-Nicolas de Bastia mais il faut quand même rappeler que le nouveau port de la Carbonite, qui générerait plus d'un millier d'emploi supplémentaires, disposerait de quais plus adaptée aux navires actuels - de195 et 340 mètres - avec 173 000 m2 de terre-plein pour l'organisation des flux, d'une zone d'embarquement de 78 000 m2 pour accueillir 3 900 véhicules, d'une aire de manutention de 71 000 m2 pour stocker 630 remorques et d'une zone publique de 24 000 m2 d'aires de stationnement dévolues aux usagers et aux employés.
Sa construction avoisinerait les 300 M€ auxquels il faudrait ajouter près de la moitié de cette somme pour tous les aménagements périphériques, voies d'accès, réseaux, etc.
On sait, aussi, que le 5 octobre dernier le projet a reçu le feu vert du Conseil scientifique régional du patrimoine naturel.
La deuxième étape s'est déroulée donc jeudi avec avec l'audition du président du Conseil exécutif et du préfet de Corse devant le Conseil national de la protection de la nature, au ministère du Développement durable.
Il s'agissait pour la circonstance d'accorder, ou non, la dérogation nécessaire pour porter atteinte aux espèces protégées, ici l'herbier de Posidonie, au vu des mesures d'accompagnement environnementales arrêtées par la CTC.
Selon ce qu'il nous a été donné d'apprendre, Paul Giacobbi et le préfet de Haute-Corse auraient obtenu un "avis favorable".
Dès lors la prochaine étape du projet de grand port de Bastia se jouera sur les bancs de l'assemblée de Corse où il devra être approuvé par une majorité d'élus territoriaux...
Nous vous en reparlerons.