Alcudina.fr : La municipalité n’a pas utilisé son droit de préemption, pourquoi s’être désengagé ?
Marie-Antoinette Cucchi : La commune se soucie de son littoral. Nous constatons l’accroissement de mouillages sauvages et il faut aménager le plan d’eau. Des mouillages organisés sont en cours de réalisations, si la commune s’est désengagée c’est qu’elle n’a pas vocation à être un loueur de bateaux, il y a des professionnels pour cela.
Je voudrais tout de même préciser que des mouillages organisés existent déjà à Santa Giulia, ils sont gérés par des professionnels et la commune perçoit une redevance, personne ne s’en est ému jusqu’à maintenant.
Alcudina.fr : Là se sont 150 anneaux sur une grande partie du littoral de Porto-Vecchio qui vont être géré par des propriétaires de résidences secondaires.
Marie-Antoinette Cucchi : Pour Palombaggia, Cala d’Oru et Punta d’Oru, ce sont des bateaux qui sont déjà à l’ancre et en mouillages sauvages, il faut réguler pour être le moins agressif possible pour notre environnement et pour une meilleure fluidité de la navigation.
D’autre part ces mouillages organisés se font de manières transparentes avec les services de l’Etat, des études de sols ont été réalisées. Enfin, il n’y a pas que des propriétaires de résidences secondaires qui auront la gestion, nous avons sollicités des professionnels qui sont à Palombaggia à rentrer dans ces associations pour pouvoir bénéficier du mouillage.
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Marie-Antoinette Cucchi : La commune se soucie de son littoral. Nous constatons l’accroissement de mouillages sauvages et il faut aménager le plan d’eau. Des mouillages organisés sont en cours de réalisations, si la commune s’est désengagée c’est qu’elle n’a pas vocation à être un loueur de bateaux, il y a des professionnels pour cela.
Je voudrais tout de même préciser que des mouillages organisés existent déjà à Santa Giulia, ils sont gérés par des professionnels et la commune perçoit une redevance, personne ne s’en est ému jusqu’à maintenant.
Alcudina.fr : Là se sont 150 anneaux sur une grande partie du littoral de Porto-Vecchio qui vont être géré par des propriétaires de résidences secondaires.
Marie-Antoinette Cucchi : Pour Palombaggia, Cala d’Oru et Punta d’Oru, ce sont des bateaux qui sont déjà à l’ancre et en mouillages sauvages, il faut réguler pour être le moins agressif possible pour notre environnement et pour une meilleure fluidité de la navigation.
D’autre part ces mouillages organisés se font de manières transparentes avec les services de l’Etat, des études de sols ont été réalisées. Enfin, il n’y a pas que des propriétaires de résidences secondaires qui auront la gestion, nous avons sollicités des professionnels qui sont à Palombaggia à rentrer dans ces associations pour pouvoir bénéficier du mouillage.
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