Christiane Taubira a remporté sans surprise ce dimanche 30 janvier la Primaire populaire, consultation citoyenne destinée à avoir une candidature unique à gauche pour la présidentielle mais dont la plupart des principaux candidats ont refusé de reconnaître la légitimité.
Les votants devaient classer les candidats avec des mentions comme «Très bien», «Bien», «Assez bien», «Passable», ou «Insuffisant(e)». En d'autres termes, ce vote ne répondait pas au fait majoritaire : le prétendant qui obtenait la meilleure médiane remporte l'élection.
Sur ces critères, c'est donc Christiane Taubira, avec une mention bien + , qui arrive en première position devant le candidat EELV Yannick Jadot - assez bien + - et Jean-Luc Mélenchon - assez bien -. En cinquième position, la prétendante socialiste Anne Hidalgo obtient un passable +.
Si ce scrutin ferme une parenthèse, il n'arrange en rien l'enjeu majeur de la gauche : l'éparpillement des candidatures et de ses voix. Alors que ni Jean-Luc Mélenchon, Yannick Jadot ou Anne Hidalgo - qui n'étaient pas prétendants bien qu'inscrits - ne s'étaient engagés à respecter le verdict de cette primaire, seule Christiane Taubira, lancée depuis le 9 janvier dernier, avait dit qu'elle se soumettrait au processus.
Les votants devaient classer les candidats avec des mentions comme «Très bien», «Bien», «Assez bien», «Passable», ou «Insuffisant(e)». En d'autres termes, ce vote ne répondait pas au fait majoritaire : le prétendant qui obtenait la meilleure médiane remporte l'élection.
Sur ces critères, c'est donc Christiane Taubira, avec une mention bien + , qui arrive en première position devant le candidat EELV Yannick Jadot - assez bien + - et Jean-Luc Mélenchon - assez bien -. En cinquième position, la prétendante socialiste Anne Hidalgo obtient un passable +.
Si ce scrutin ferme une parenthèse, il n'arrange en rien l'enjeu majeur de la gauche : l'éparpillement des candidatures et de ses voix. Alors que ni Jean-Luc Mélenchon, Yannick Jadot ou Anne Hidalgo - qui n'étaient pas prétendants bien qu'inscrits - ne s'étaient engagés à respecter le verdict de cette primaire, seule Christiane Taubira, lancée depuis le 9 janvier dernier, avait dit qu'elle se soumettrait au processus.