@coreinfronte2017
Les faits qui lui sont reprochés remontent au 26 Septembre dernier
Paul-Felix Bénedetti avait souhaité assister ce jour-là au procès de son frère et de deux autres militants nationalistes poursuivis pour refus d'inscription au FIJAIT.
Le leader de Core in Fronte avait été repoussé, avec plusieurs dizaines de jeunes, devant les grilles du palais de justice de Bastia par un fonctionnaire de police avec lequel il aurait eu, selon l'accusation, maille à partir.
Une grenade lacrymogène, que le prévenu aurait tenté d'enlever des mains du policier, aurait ensuite explosé, blessant le fonctionnaire au visage.
Une version contestée devant le tribunal par le prévenu qui s'est dit "gazé sans raison" et frappé au bas du ventre. Le différend se serait ensuite poursuivi verbalement devant l'entrée du palais de justice.
Le ministère public a requis a requis 5 mois de prison ferme et un mois supplémentaire pour refus d'ADN et de prise d'empreintes à l'encontre de Paul-Felix Benedetti.
Le tribunal, qui a indiqué que le policier "menacé" et craignant pour lui et pour sa famille, avait retiré sa plainte, a mis son jugement en délibéré au 26 Mars prochain.
Des réquisitions "complètement disproportionnées" pour Core in Fronte qui estime que ce "procès est un prétexte pour essayer de faire taire la voix politique de Paul Félix Benedetti. Il renforce la détermination deCore in Fronte pour l'avènement d'un peuple corse maître de ses droits et de son destin".
Paul-Felix Bénedetti avait souhaité assister ce jour-là au procès de son frère et de deux autres militants nationalistes poursuivis pour refus d'inscription au FIJAIT.
Le leader de Core in Fronte avait été repoussé, avec plusieurs dizaines de jeunes, devant les grilles du palais de justice de Bastia par un fonctionnaire de police avec lequel il aurait eu, selon l'accusation, maille à partir.
Une grenade lacrymogène, que le prévenu aurait tenté d'enlever des mains du policier, aurait ensuite explosé, blessant le fonctionnaire au visage.
Une version contestée devant le tribunal par le prévenu qui s'est dit "gazé sans raison" et frappé au bas du ventre. Le différend se serait ensuite poursuivi verbalement devant l'entrée du palais de justice.
Le ministère public a requis a requis 5 mois de prison ferme et un mois supplémentaire pour refus d'ADN et de prise d'empreintes à l'encontre de Paul-Felix Benedetti.
Le tribunal, qui a indiqué que le policier "menacé" et craignant pour lui et pour sa famille, avait retiré sa plainte, a mis son jugement en délibéré au 26 Mars prochain.
Des réquisitions "complètement disproportionnées" pour Core in Fronte qui estime que ce "procès est un prétexte pour essayer de faire taire la voix politique de Paul Félix Benedetti. Il renforce la détermination deCore in Fronte pour l'avènement d'un peuple corse maître de ses droits et de son destin".