Photo d'illustration
Ce jeudi 12 octobre, pour une raison qui reste à déterminer, un petit avion de tourisme s'est écrasé dans le golfe du Vaincu. L'aéronef avait décollé de l'aérodrome de Tavaria vers 17h45, transportant quatre passagers, deux femmes et deux hommes âgés entre 40 et 50 ans. Malheureusement, quelques minutes après le décollage, l'avion s'est écrasé sur à proximité du Capu Laurosu, coûtant la vie aux quatre occupants.
Des témoins du crash ont alerté le CROSS Med en Corse qui a alors immédiatement déployé un important dispositif de sauvetage aérien mobilisant une quinzaine de sapeurs-pompiers, un binôme de sapeurs-plongeurs, ainsi que la SNSM (Société Nationale de Sauvetage en Mer) et les hélicoptères de la gendarmerie nationale et de la sécurité civile, avec les équipes médicales d'Ajaccio à bord.
Les sapeurs-pompiers plongeurs ont récupéré les deux premières victimes en arrêt cardio-respiratoire et malgré les tentatives de réanimation, elles ont été déclarées décédées. Peu de temps après, les équipes de la SNSM ont récupéré les deux autres victimes, également en arrêt cardio-respiratoire, et en dépit des soins prodigués pour les réanimer, ces deux autres victimes ont été déclarées décédées.
"L'accident est intervenu alors que l'avion quittait l'aérodrome de Propriano lors d'une manoeuvre au décollage qui laisse penser à une panne moteur. C'est en tout cas l'hypothèse privilégiée", a indiqué à l'AFP le procureur de la République d'Ajaccio, Nicolas Septe.
Une enquête a été ouverte pour homicide involontaire par aéronef avec faute du pilote ou problème de maintenance et a été confiée à la section de recherche de la gendarmerie des transports aériens (GTA).
Les quatre personnes qui étaient à bord sont deux hommes français et deux femmes dont l'identité n'était pas immédiatement connue, a indiqué à l'AFP une source proche du dossier.
Le parquet a confirmé à l'AFP n'avoir que "deux identités sur les quatre" et précise que les personnes identifiées sont "a priori" françaises.
Des témoins du crash ont alerté le CROSS Med en Corse qui a alors immédiatement déployé un important dispositif de sauvetage aérien mobilisant une quinzaine de sapeurs-pompiers, un binôme de sapeurs-plongeurs, ainsi que la SNSM (Société Nationale de Sauvetage en Mer) et les hélicoptères de la gendarmerie nationale et de la sécurité civile, avec les équipes médicales d'Ajaccio à bord.
Les sapeurs-pompiers plongeurs ont récupéré les deux premières victimes en arrêt cardio-respiratoire et malgré les tentatives de réanimation, elles ont été déclarées décédées. Peu de temps après, les équipes de la SNSM ont récupéré les deux autres victimes, également en arrêt cardio-respiratoire, et en dépit des soins prodigués pour les réanimer, ces deux autres victimes ont été déclarées décédées.
"L'accident est intervenu alors que l'avion quittait l'aérodrome de Propriano lors d'une manoeuvre au décollage qui laisse penser à une panne moteur. C'est en tout cas l'hypothèse privilégiée", a indiqué à l'AFP le procureur de la République d'Ajaccio, Nicolas Septe.
Une enquête a été ouverte pour homicide involontaire par aéronef avec faute du pilote ou problème de maintenance et a été confiée à la section de recherche de la gendarmerie des transports aériens (GTA).
Les quatre personnes qui étaient à bord sont deux hommes français et deux femmes dont l'identité n'était pas immédiatement connue, a indiqué à l'AFP une source proche du dossier.
Le parquet a confirmé à l'AFP n'avoir que "deux identités sur les quatre" et précise que les personnes identifiées sont "a priori" françaises.