A Bastia plusieurs centaines de personnes se sont réunies dans le stade de foot de Paese Novu ce samedi 13 janvier une semaine après l'agression présumée d'un jeune homme par un groupe d'individus d'origine maghrébine sur le parking d'une zone commerciale de Furiani dans la nuit du 5 au 6 janvier.
Malgré la décision récente de la justice de renvoyer quatre personnes, y compris la prétendue victime, devant le tribunal judiciaire le 12 février prochain, pour des accusations de violences avec arme, port d'arme prohibé et violences volontaires en réunion, le rassemblement organisé sur les réseaux sociaux a été maintenu et s'est déroulé dans un climat serein, avec des discours exprimant à la fois la colère et la solidarité envers la famille de la victime.
Le frère du jeune homme présumé agressé a parlé au début du rassemblement "Nous sommes très en colère, car jamais nous n'aurions pensé nous retrouver en insécurité dans notre propre ville. Il faut que ça s'arrête. Ça commence à devenir très anxiogène. On ne se sent plus en sécurité. Cette histoire pourrait arriver à chacun d'entre vous."
Nicola Battini, l'un des leaders de l'association identitaire nationaliste Palatinu, a également pris la parole pour souligner que leur mouvement représente "l'expression du peuple corse, pas celle de fascistes." Il a insisté sur la défense de la famille et de la victime, tout en évitant la stigmatisation de la population d'un quartier. "Nous voulons être les porte-parole de ces gens, ces ouvriers et travailleurs, qui pâtissent des conséquences de ces réalités. Les questions migratoires et sécuritaires doivent trouver des solutions pour protéger notre peuple." a declaré Battini.
On l'écoute
Malgré la décision récente de la justice de renvoyer quatre personnes, y compris la prétendue victime, devant le tribunal judiciaire le 12 février prochain, pour des accusations de violences avec arme, port d'arme prohibé et violences volontaires en réunion, le rassemblement organisé sur les réseaux sociaux a été maintenu et s'est déroulé dans un climat serein, avec des discours exprimant à la fois la colère et la solidarité envers la famille de la victime.
Le frère du jeune homme présumé agressé a parlé au début du rassemblement "Nous sommes très en colère, car jamais nous n'aurions pensé nous retrouver en insécurité dans notre propre ville. Il faut que ça s'arrête. Ça commence à devenir très anxiogène. On ne se sent plus en sécurité. Cette histoire pourrait arriver à chacun d'entre vous."
Nicola Battini, l'un des leaders de l'association identitaire nationaliste Palatinu, a également pris la parole pour souligner que leur mouvement représente "l'expression du peuple corse, pas celle de fascistes." Il a insisté sur la défense de la famille et de la victime, tout en évitant la stigmatisation de la population d'un quartier. "Nous voulons être les porte-parole de ces gens, ces ouvriers et travailleurs, qui pâtissent des conséquences de ces réalités. Les questions migratoires et sécuritaires doivent trouver des solutions pour protéger notre peuple." a declaré Battini.
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