Ces assises étaient consacrées à la restitution des ateliers techniques confiés à l'Office d'Équipement Hydraulique de Corse (OEHC). Ces ateliers s'inscrivent dans le cadre d'une réflexion sur l'approfondissement des orientations régionales de la politique de l'eau adoptées à l'Assemblée de Corse en 2005, en cohérence avec les SDAGE. Ce dernier identifie le changement climatique comme un menace sur les milieux aquatiques et sur la ressource en eau.
L'un des objectifs de ces assises était de faire le point sur les conséquences de ce changement climatique et d'envisager des mesures énergétiques d'adaptation. Ces constatations amènent la CTC a considérer qu'il faut modifier son comportement vis à vis de l'eau en diminuant les consommations. La gestion des réseaux d'eau potable et d'irrigation doit être améliorée.
"Nous avons des réseaux d'eau brute (non traitée) et des réseaux communaux qui ont des taux de pertes excessifs, des rendements insuffisants, etc.", explique le Président de l'Exécutif Paul Giacobbi.
Interrogé sur le débat principal soulevé par ces assises il répond : " Sans doute le débat atour de la question : qu'est-ce qu'il faut privilégier ? Les ressources en eau? Pouvoir avoir le plus d'eau possible et de bonne qualité? Ou est-ce qu'il faut faire attention de savoir que lorsqu'on prélève de l'eau, on atteint le milieu. Il faut tenir compte communément de ces deux objectifs : améliorer la qualité des eaux, aussi bien pour la consommation urbaine et l'agriculture, et en même temps, améliorer une sorte de police des eaux pour protéger le milieu."
L'un des objectifs de ces assises était de faire le point sur les conséquences de ce changement climatique et d'envisager des mesures énergétiques d'adaptation. Ces constatations amènent la CTC a considérer qu'il faut modifier son comportement vis à vis de l'eau en diminuant les consommations. La gestion des réseaux d'eau potable et d'irrigation doit être améliorée.
"Nous avons des réseaux d'eau brute (non traitée) et des réseaux communaux qui ont des taux de pertes excessifs, des rendements insuffisants, etc.", explique le Président de l'Exécutif Paul Giacobbi.
Interrogé sur le débat principal soulevé par ces assises il répond : " Sans doute le débat atour de la question : qu'est-ce qu'il faut privilégier ? Les ressources en eau? Pouvoir avoir le plus d'eau possible et de bonne qualité? Ou est-ce qu'il faut faire attention de savoir que lorsqu'on prélève de l'eau, on atteint le milieu. Il faut tenir compte communément de ces deux objectifs : améliorer la qualité des eaux, aussi bien pour la consommation urbaine et l'agriculture, et en même temps, améliorer une sorte de police des eaux pour protéger le milieu."