À l'initiative des préfectures de Corse, l'Offices Hydraulique, EDF, Kyrnolia, ARS ( Agence Régionale de Santé), AFB ( Agence Française de la Biodiversité ), l’Università di Corsica, ont été conviés à Corti ce mercredi après-midi, pour participer à la réunion du comité de suivi de la sécheresse.
Lors de cette assemblée, de nombreux intervenants ont présenté les résultats d'études, notamment sur la situation de la ressource en eau et la situation hydrologique.
"C’est un comité sécheresse un peu exceptionnel qui a lieu aujourd’hui. La seconde partie était axée sur le suivi de la sécheresse. Nous pouvons dire que la situation est maîtrisée mais qui reste très sensible et à surveiller" précisait Josiane Chevalier, préfète de Corse.
Malgré une chaude saison estivale annoncée par Météo France, les réserves d'eau des barrages et souterraines sont normales et pour l'heure, pas de restrictions en vue pour les services de l'État. "Avec mon collègue de Haute-Corse, nous allons porter nos efforts sur la sensibilisation de la gestion de l'eau. Dans un mois, nous verrons si il y a matière ou pas à imposer des restrictions. Pour l'heure, nous devons faire comprendre par des actions pédagogiques que chacun doit prendre part à cet effort car la ressource en eau est rare et le sera de plus en plus".
La première partie était axée sur l’étude des cyanobactéries, par l’ARS. " Une étude qui sert aussi à rassurer la population. Nous souhaitons montrer que nous avons mis en place toutes les mesures de prévention et de surveillance, pour s’adapter en fonction de toutes circonstances exceptionnelles du climat. [...] ". Le problème des cyanobasteries est mondial. Seulement certaines espèces sont toxiques et dans certaines circonstances. En Corse, 17 plans d'eau sont sous surveillance. Une liste non figée."
Lors de cette assemblée, de nombreux intervenants ont présenté les résultats d'études, notamment sur la situation de la ressource en eau et la situation hydrologique.
"C’est un comité sécheresse un peu exceptionnel qui a lieu aujourd’hui. La seconde partie était axée sur le suivi de la sécheresse. Nous pouvons dire que la situation est maîtrisée mais qui reste très sensible et à surveiller" précisait Josiane Chevalier, préfète de Corse.
Malgré une chaude saison estivale annoncée par Météo France, les réserves d'eau des barrages et souterraines sont normales et pour l'heure, pas de restrictions en vue pour les services de l'État. "Avec mon collègue de Haute-Corse, nous allons porter nos efforts sur la sensibilisation de la gestion de l'eau. Dans un mois, nous verrons si il y a matière ou pas à imposer des restrictions. Pour l'heure, nous devons faire comprendre par des actions pédagogiques que chacun doit prendre part à cet effort car la ressource en eau est rare et le sera de plus en plus".
La première partie était axée sur l’étude des cyanobactéries, par l’ARS. " Une étude qui sert aussi à rassurer la population. Nous souhaitons montrer que nous avons mis en place toutes les mesures de prévention et de surveillance, pour s’adapter en fonction de toutes circonstances exceptionnelles du climat. [...] ". Le problème des cyanobasteries est mondial. Seulement certaines espèces sont toxiques et dans certaines circonstances. En Corse, 17 plans d'eau sont sous surveillance. Une liste non figée."
Un été relativement chaud en prévision, des barrages pleins et une vigilance particulière
"Avec un mois de mai particulièrement pluvieux, au dessus de la normale, cela a rattrapé le déficit en eau rencontré depuis le mois de Janvier. " C'est une situation encourageante pour débuter l'été. Nous pouvons nous essayer à des prévisions saisonnières qui sont assez pessimistes en ce qui concerne la chaleur et des scenarii privilégiés pour les précipitations. [...] Depuis 2004, c'est la première fois qu'il fait si froid au mois de mai. Mais nous allons devoir nous habituer à vivre des printemps toujours plus chauds et des êtés sans précipitations avec des épisodes caniculaires", a confirmé Patrick Rébillout, chef du centre météorologique d'Aiacciu.
Du côté de l'Office Hydraulique, la situation de l'eau est pour le moment positive. "Nous connaissons un stock nominal sur nos barrages et le début des destockage commencent à peine sur certains de nos ouvrages. Ce qui signifie que nous n'avons pas à subir cette année comme en 2017, un début de destockage précoce qui aurait pu nos conduire vers une situation de sécheresse particulièrement sévère. Mais nous devons rester vigilants. Nous n'avons pas un stock de sécurité extensible"a ajouté Henri Politi, chef du service d'exploitation.
Pour la saison un comité mensuel sera chaque fois organisé dans des lieux différents.
Le prochain aura lieu le 12 juillet à l'INRA de San Giulianu.
Du côté de l'Office Hydraulique, la situation de l'eau est pour le moment positive. "Nous connaissons un stock nominal sur nos barrages et le début des destockage commencent à peine sur certains de nos ouvrages. Ce qui signifie que nous n'avons pas à subir cette année comme en 2017, un début de destockage précoce qui aurait pu nos conduire vers une situation de sécheresse particulièrement sévère. Mais nous devons rester vigilants. Nous n'avons pas un stock de sécurité extensible"a ajouté Henri Politi, chef du service d'exploitation.
Pour la saison un comité mensuel sera chaque fois organisé dans des lieux différents.
Le prochain aura lieu le 12 juillet à l'INRA de San Giulianu.