Quel gâchis !
Comment a t-on pu en arriver là ?
Comment un club qui en 2010 était repartir du bon pied pour successivement se parer du titre de champion de France de National puis de Ligue 2 avant d'entamer un parcours plus qu'honorable en Ligue 1 avant d'aller tutoyer les places européennes à la faveur d'une coupe de la ligue qui encore fait vibrer tout la Corse, mais pas seulement, a t-il pu retomber de la sorte sans gloire d'où il s'était extirpé avec brio ?
Pourtant cette équipe dirigeante que l'on a longtemps citée en exemple avait tout pour elle : un stade plein, un public tout acquis à sa cause, un entraîneur, qui avait sans doute des exigences, mais dont les résultats qui plaidaient en sa faveur auraient mérité un peu plus de considération de l'équipe dirigeante aux commandes.
Au lieu de cela on est allé se fourvoyer avec Claude Makélélé. Avant de se rendre compte que l'ancien international du PS-G et de Chelsea n'était absolument pas l'homme de la situation...
Puis il y le Prinrant de Ghislain. L'homme venu du centre de formation a réussi à sortir le Sporting de l'ornière puis à le propulser jusqu'à la finale de la coupe de la Ligue.
Mais son expérience n'excéda pas l'année.
Printant renvoyé à ses chères études fut remplacé par François Ciccolini, un autre homme du sérail qui lui aussi n'alla pas au terme de son mandat, remplacé en fin de parcours alors que les espoirs de maintien s'étaient envolés depuis belle lurette par Almeida qui doit toujours se demander comment il était arrivé au club.
Sportivement le Sporting, hormis l'épisode de la coupe de la Ligue, n'a plus brillé depuis le départ de Frédéric Hantz.
Erreurs sur ce plan, erreurs de recrutement, conflits a répétition avec les instances du football, désaccord puis divorce avec ses supporters : le Sporting n'a cessé de s'enfoncer jusqu'à cet ultime épisode qui van sans doute, sonner le glas du Sporting. Ou à tout le moins risque de le rayer pour un temps du paysage professionnel du football français.
Aujourd'hui la déception de tous ceux qui ont cru à un énième miracle auprès de la DNCG d'abord, et du comité national olympique et sportif ensuite, est immense.
Ceux qui ont précipité la chute du Sporting ont entraîné dans cette même chute la centaine de personnes que le club employait.
Privé plusieurs entreprises qui travaillaient avec eux d'incontestables débouchés.
Et puni tous ceux, qui à la faveur de revers ou de soirées victorieuses trouvaient, matière à assouvir leur passion du bleu.
Ce vendredi ils ont été définitivement condamnés à regarder les championnats nationaux de loin !
Quel gâchis !
Comment a t-on pu en arriver là ?
Comment un club qui en 2010 était repartir du bon pied pour successivement se parer du titre de champion de France de National puis de Ligue 2 avant d'entamer un parcours plus qu'honorable en Ligue 1 avant d'aller tutoyer les places européennes à la faveur d'une coupe de la ligue qui encore fait vibrer tout la Corse, mais pas seulement, a t-il pu retomber de la sorte sans gloire d'où il s'était extirpé avec brio ?
Pourtant cette équipe dirigeante que l'on a longtemps citée en exemple avait tout pour elle : un stade plein, un public tout acquis à sa cause, un entraîneur, qui avait sans doute des exigences, mais dont les résultats qui plaidaient en sa faveur auraient mérité un peu plus de considération de l'équipe dirigeante aux commandes.
Au lieu de cela on est allé se fourvoyer avec Claude Makélélé. Avant de se rendre compte que l'ancien international du PS-G et de Chelsea n'était absolument pas l'homme de la situation...
Puis il y le Prinrant de Ghislain. L'homme venu du centre de formation a réussi à sortir le Sporting de l'ornière puis à le propulser jusqu'à la finale de la coupe de la Ligue.
Mais son expérience n'excéda pas l'année.
Printant renvoyé à ses chères études fut remplacé par François Ciccolini, un autre homme du sérail qui lui aussi n'alla pas au terme de son mandat, remplacé en fin de parcours alors que les espoirs de maintien s'étaient envolés depuis belle lurette par Almeida qui doit toujours se demander comment il était arrivé au club.
Sportivement le Sporting, hormis l'épisode de la coupe de la Ligue, n'a plus brillé depuis le départ de Frédéric Hantz.
Erreurs sur ce plan, erreurs de recrutement, conflits a répétition avec les instances du football, désaccord puis divorce avec ses supporters : le Sporting n'a cessé de s'enfoncer jusqu'à cet ultime épisode qui van sans doute, sonner le glas du Sporting. Ou à tout le moins risque de le rayer pour un temps du paysage professionnel du football français.
Aujourd'hui la déception de tous ceux qui ont cru à un énième miracle auprès de la DNCG d'abord, et du comité national olympique et sportif ensuite, est immense.
Ceux qui ont précipité la chute du Sporting ont entraîné dans cette même chute la centaine de personnes que le club employait.
Privé plusieurs entreprises qui travaillaient avec eux d'incontestables débouchés.
Et puni tous ceux, qui à la faveur de revers ou de soirées victorieuses trouvaient, matière à assouvir leur passion du bleu.
Ce vendredi ils ont été définitivement condamnés à regarder les championnats nationaux de loin !
Quel gâchis !