Président, une AG tenue dans des conditions bien particulières, COVID oblige ...
- Effectivement. Celle –ci s’est faite via internet avec un lien que nous avions envoyé aux souscripteurs. Sur les 1101 souscripteurs, 383 ont participé aux votes, donc le quorum était atteint.
- Quel était l’ordre du jour ?
- Quel était l’ordre du jour ?
- En priorité l’approbation des comptes clos au 30 juin 2020, puis différents rapports de gestion. Cette AG ordinaire s’est doublée d’une AG extraordinaire car nous avons modifié, simplifié les modalités d’admission aux nouveaux souscripteurs. Nous avons pu échanger, discuter sur différentes résolutions. Avec ces 383 votants nous avons réussi à impulser une bonne participation et par la suite il y aura d’autres travaux sur lesquels nous demanderons aux souscripteurs de participer, notamment sur des évolutions structurelles, organisationnelles.
- Vous aviez fixé un objectif de 3 000 souscripteurs, ambition revue à la baisse ?
- Aujourd’hui nous en sommes à 1101 souscripteurs à la SCIC. On a atteint nos premiers objectifs mais ceux-ci ont été revus à la hausse et on espère bien être beaucoup plus nombreux dans quelques temps. Charge à nous aujourd’hui d’établir une campagne qui soit assez dynamique pour que les gens aient envie de nous rejoindre. L’objectif est ambitieux et notre discours reste optimiste malgré la crise. Nous sommes là pour travailler et faire en sorte d’avoir sinon 3000 souscripteurs, du moins de nous en approcher au maximum.
- La crise a-t-elle eu un impact financier ?
- Oui indéniablement. Mais nous avons pu profiter des aides mises en place par l’Etat avec notamment la mise au chômage partiel des effectifs. Cela a largement amorti le choc que nous aurions du subir.
- Confiant face à l’échéance DNCG ?
- Si la crise a bien un impact financier, nous allons faire en sorte que le budget que nous présenterons devant la DNCG soit conforme à nos prévisions. Il n’y aura pas de problème là-dessus. On espère bien sûr que la crise soit résolue et que plus tôt nous reprendrons un championnat normal, plus tôt nous pourrons rentrer dans les objectifs financiers. Le contexte sanitaire nous a fait faire face à des situations que nous ne pouvions envisager. Mais aujourd’hui nous sommes debout, optimistes, combattifs et on fera en sorte d’avoir une image forte sur le plan sportif et aussi sur le plan financier.
- Des projets ?
- A ce jour, il n’y a pas de projets bien définis sur le futur. Mais bien sûr nous avons évoqué des projets que l’on va proposer dans l’avenir. Ils n’ont pas été décrits avec précision mais on a évoqué certaines ambitions.
- La SCIC était donc un bon choix pour le club ?
- Oui c’était le bon choix. Aujourd’hui nous sommes satisfaits de ce qui a pu être fait. On est contents que les gens aient pu participer et on espère que beaucoup d’autres souscripteurs viendront encore participer à cette aventure. Nous avons fait dès le début le choix de la transparence, d’une structure collaborative. On s’efforce de maintenir cela et cela inspire de la confiance.