Une décision à laquelle ne sont sans doute pas étrangers les administrateurs judiciaires de la compagnie qui comme les élus du comité d'entreprise de la SNCM avaient fustigé des offres «particulièrement peu satisfaisantes». Les repreneurs «n’ont pas encore justifié de leur financement (...) et ils maintiennent tous des conditions suspensives majeures», soulignaient-ils.
A la sortie de l'audience, qui s'est tenue à huis clos, l'avocate du comité d'entreprise a indiqué que le procureur de la République avait requis l'organisation d'un nouvel appel à candidatures pour la reprise de la compagnie, avec un nouveau rendez-vous en septembre, les offres présentées apparaissant «insatisfaisantes» en l’état rapporte l'AFP.
Si donc le tribunal suit les réquisitions du procureur, la SNCM effectuera la prochaine saison estivale en redressement judiciaire.
Avant les offres de reprise que le tribunal a refusé d'aborder, l'audience avait été consacrée aux créances de la compagnie
A la sortie de l'audience, qui s'est tenue à huis clos, l'avocate du comité d'entreprise a indiqué que le procureur de la République avait requis l'organisation d'un nouvel appel à candidatures pour la reprise de la compagnie, avec un nouveau rendez-vous en septembre, les offres présentées apparaissant «insatisfaisantes» en l’état rapporte l'AFP.
Si donc le tribunal suit les réquisitions du procureur, la SNCM effectuera la prochaine saison estivale en redressement judiciaire.
Avant les offres de reprise que le tribunal a refusé d'aborder, l'audience avait été consacrée aux créances de la compagnie