Ainsi dans un communiqué transmis à notre rédaction Transdev réagit en terme peu amènes à la divulgation d'un courrier des administrateurs judiciaires.
Transdev ne peut laisser sans réponse la divulgation d’un courrier des Administrateurs Judiciaires contenant de nombreuses contre-vérités auxquelles l’avocate de Transdev avait répondu, sans que sa réponse ait été rendu publique en même temps que ce courrier mensonger. Dans le courrier des Administrateurs Judiciaires, le terme de liquidation judiciaire a été totalement détourné de son contexte. En effet, il y a deux cas de figure dans lesquels une liquidation peut être ouverte : une liquidation sans reprise, ce à quoi Transdev s’est toujours opposé, et une liquidation avec reprise partielle d’activités et d’emplois, nécessaire pour répondre au critère de discontinuité demandé par Bruxelles.
Transdev n’a jamais subordonné à une liquidation de la SNCM sans reprise sa proposition de contribuer financièrement au PSE de la SNCM à hauteur de 85 M€, et d’abandonner 105 M€ de créances. Sa proposition a au contraire pour objet de favoriser un plan de reprise. En contrepartie de l’effort significatif consenti, Transdev souhaite en revanche conclure une transaction pour que le montant versé ait un caractère définitif. Ceci suppose le respect d’un calendrier et de modalités techniques qui faisaient l’objet des échanges entre Transdev et les Administrateurs Judiciaires, et qui doivent permettre, une fois les activités reprises par un repreneur, la liquidation de la structure juridique résiduelle de la SNCM. Transdev souhaite que l’ouverture de cette liquidation judiciaire se fasse en même temps que l’arrêté du plan de reprise, comme cela est le cas dans de nombreux autres dossiers, et non plusieurs mois après, afin de pouvoir apporter au plus vite sa contribution financière et de permettre aux salariés non repris de percevoir leurs indemnités.
Ces accusations sont donc contraires à tout ce que Transdev a entrepris depuis des mois afin de préserver un maximum d’activités et d’emplois. C’est pourquoi, dans un souci de transparence totale, Transdev a décidé de diffuser les différents courriers échangés.
Transdev ne peut laisser sans réponse la divulgation d’un courrier des Administrateurs Judiciaires contenant de nombreuses contre-vérités auxquelles l’avocate de Transdev avait répondu, sans que sa réponse ait été rendu publique en même temps que ce courrier mensonger. Dans le courrier des Administrateurs Judiciaires, le terme de liquidation judiciaire a été totalement détourné de son contexte. En effet, il y a deux cas de figure dans lesquels une liquidation peut être ouverte : une liquidation sans reprise, ce à quoi Transdev s’est toujours opposé, et une liquidation avec reprise partielle d’activités et d’emplois, nécessaire pour répondre au critère de discontinuité demandé par Bruxelles.
Transdev n’a jamais subordonné à une liquidation de la SNCM sans reprise sa proposition de contribuer financièrement au PSE de la SNCM à hauteur de 85 M€, et d’abandonner 105 M€ de créances. Sa proposition a au contraire pour objet de favoriser un plan de reprise. En contrepartie de l’effort significatif consenti, Transdev souhaite en revanche conclure une transaction pour que le montant versé ait un caractère définitif. Ceci suppose le respect d’un calendrier et de modalités techniques qui faisaient l’objet des échanges entre Transdev et les Administrateurs Judiciaires, et qui doivent permettre, une fois les activités reprises par un repreneur, la liquidation de la structure juridique résiduelle de la SNCM. Transdev souhaite que l’ouverture de cette liquidation judiciaire se fasse en même temps que l’arrêté du plan de reprise, comme cela est le cas dans de nombreux autres dossiers, et non plusieurs mois après, afin de pouvoir apporter au plus vite sa contribution financière et de permettre aux salariés non repris de percevoir leurs indemnités.
Ces accusations sont donc contraires à tout ce que Transdev a entrepris depuis des mois afin de préserver un maximum d’activités et d’emplois. C’est pourquoi, dans un souci de transparence totale, Transdev a décidé de diffuser les différents courriers échangés.