La réserve du Prunelli. Photo OEHC.
La Corse, château d’eau de la Méditerranée, ne serait-il plus qu’un lointain souvenir ?
C’était l’objet de l’inquiétude de la conseillère Marie-Anne Pieri, élue du groupe Per l’Avvene jeudi matin à l'Assemblée de Corse.
A l’occasion des questions orales de cette session d’avril, l’élue est revenue sur la perturbation des cycles climatiques et la sécheresse récurrente qui en découle.
Même si les réserves en eaux semblent, aujourd'hui, suffisantes - les 11 réserves artificielles de l’île sont quasiment à leur maximum de stockage, la Corse pourrait rapidement passer en état de sécheresse.
Dès la fin mars, Météo France a alerté sur les températures anormalement élevées et les faibles précipitations.
Dès 2018, le CSH exprimait la nécessité de pérenniser la politique de sensibilisation à l’économie d’eau.
Une politique renouvelée cette année avec un nouveau plan de communication mis en place par l’Office Hydraulique (OEHC).
Son président, Saveriu Luciani, revient sur cette problématique qui ne cesse de s’aggraver.
C’était l’objet de l’inquiétude de la conseillère Marie-Anne Pieri, élue du groupe Per l’Avvene jeudi matin à l'Assemblée de Corse.
A l’occasion des questions orales de cette session d’avril, l’élue est revenue sur la perturbation des cycles climatiques et la sécheresse récurrente qui en découle.
Même si les réserves en eaux semblent, aujourd'hui, suffisantes - les 11 réserves artificielles de l’île sont quasiment à leur maximum de stockage, la Corse pourrait rapidement passer en état de sécheresse.
Dès la fin mars, Météo France a alerté sur les températures anormalement élevées et les faibles précipitations.
Dès 2018, le CSH exprimait la nécessité de pérenniser la politique de sensibilisation à l’économie d’eau.
Une politique renouvelée cette année avec un nouveau plan de communication mis en place par l’Office Hydraulique (OEHC).
Son président, Saveriu Luciani, revient sur cette problématique qui ne cesse de s’aggraver.