Pour l’heure, a-t-elle précisé, des témoignages, dont celui d'un des deux surveillants blessés, font bien état de cris "Allah Akbar" lors de l’agression, mais cela ne suffit pas à qualifier les faits en acte terroriste et d’autant que les bandes de vidéosurveillance n’ont pas de son.
Ces images de vidéosurveillance, a-t-elle aussi reconnu, montre par ailleurs l’agresseur se drapant d'un drapeau palestinien après l’agression. Quant à la suspicion de radicalisation le concernant, ce ne sont pas des éléments suffisants pour qualifier l’acte en acte terroriste a-t-elle encore affirmé.
Lors de son audition devant la procureure, Morad Akaouch a indiqué avoir agi sous le coup de la colère pour justifier son geste, une colère qui aurait pour origine les conditions dans lesquelles une fouille de sa cellule aurait été effectuée récemment.
Dans ce dossier 4 autres personnes, dont une femme en région lyonnaise, avaient placées en garde à vue mais faute d'éléments suffisants à leur encontre, elles ont été relâchées pour la femme interpellée à Lyon, ou remises en cellule pour les trois autres. Quant à l’arme qui a servi à l’assaillant, malgré des fouilles minutieuses, elle n’a pas encore été retrouvée.
Enfin, la procureure a précisé que Morad Akaouch avait été transféré en mi-journée de dimanche dans un établissement pénitentiaire du continent.
Les explications détaillées de la procureure Caroline Tharot, en vidéo…
Ces images de vidéosurveillance, a-t-elle aussi reconnu, montre par ailleurs l’agresseur se drapant d'un drapeau palestinien après l’agression. Quant à la suspicion de radicalisation le concernant, ce ne sont pas des éléments suffisants pour qualifier l’acte en acte terroriste a-t-elle encore affirmé.
Lors de son audition devant la procureure, Morad Akaouch a indiqué avoir agi sous le coup de la colère pour justifier son geste, une colère qui aurait pour origine les conditions dans lesquelles une fouille de sa cellule aurait été effectuée récemment.
Dans ce dossier 4 autres personnes, dont une femme en région lyonnaise, avaient placées en garde à vue mais faute d'éléments suffisants à leur encontre, elles ont été relâchées pour la femme interpellée à Lyon, ou remises en cellule pour les trois autres. Quant à l’arme qui a servi à l’assaillant, malgré des fouilles minutieuses, elle n’a pas encore été retrouvée.
Enfin, la procureure a précisé que Morad Akaouch avait été transféré en mi-journée de dimanche dans un établissement pénitentiaire du continent.
Les explications détaillées de la procureure Caroline Tharot, en vidéo…