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Bastia-Toulouse ou Toulouse-Bastia : le nom de Cahuzac restera, c'est évident, à jamais gravé dans le marbre de l'histoire des deux clubs.
Depuis quelques heures c'est encore plus vrai.
Avec sa signature à Toulouse; Yannick revient un peu aux sources de la famille avant qu'elle n'essaime sur Ajaccio puis Bastia.
Cahuzac, sur l'île, ce fut c'est vrai, ce règne sur le football français avec le Gazelec, rythmé par un certain Pierre Cahuzac.
Un Cahuzac qui prit une autre dimension en franchissant Vizzavona pour revigorer un Sporting qui se traînait en première division, lui permettre de signer 7 victoires consécutives puis, dans la foulée, de disputer une première finale de la Coupe de France !
La suite tout le monde la connaît avec une apogée historique au niveau européen en 1978.
A l'époque Yannick n'était pas encore né.
Il n'empêche qu'il était, sans doute, déjà, écrit qu'il suivrait un jour les traces de son pappy de footballeur.
Il a commencé par le GFCA. A poursuivi avec le Sporting. Et aujourd'hui, il arrive à Toulouse où la réputation de Pierre l'a, bien sûr, précédé.
En tout cas à Toulouse, on aime à rappeler que Yannick ne sera pas le premier Cahuzac à porter la tunique toulousaine.
Il y a soixante ans, Pierre, son grand-père, fut l'un des vainqueurs de la Coupe de France face à Angers (6-3), du côté de stade de Colombes.
Mais ce n'est pas tout.
Plus tard comme entraîneur - c'était en 1982- il permit au TFC de retrouver l'élite du football français.
Aujourd'hui un autre Cahuzac arrive dans le club de la Ville rose.
Comme le précédent, il ne décevra pas.
En tout cas Bastia on regrettera ce milieu de terrain de caractère, gentleman hors des terrains, qui a défendu le "bleu" du Sporting, parfois avec excès sans doute, mais avec une belle constance, que l'on ne retrouve plus, hélas et depuis belle lurette, à ce niveau.
Rien que pour cela Yannick aurait mérité de partir autrement que dans les conditions qui sont celles du Sporting aujourd'hui !
Forza Cahu.
Au TFC, on sera avec toi !
Depuis quelques heures c'est encore plus vrai.
Avec sa signature à Toulouse; Yannick revient un peu aux sources de la famille avant qu'elle n'essaime sur Ajaccio puis Bastia.
Cahuzac, sur l'île, ce fut c'est vrai, ce règne sur le football français avec le Gazelec, rythmé par un certain Pierre Cahuzac.
Un Cahuzac qui prit une autre dimension en franchissant Vizzavona pour revigorer un Sporting qui se traînait en première division, lui permettre de signer 7 victoires consécutives puis, dans la foulée, de disputer une première finale de la Coupe de France !
La suite tout le monde la connaît avec une apogée historique au niveau européen en 1978.
A l'époque Yannick n'était pas encore né.
Il n'empêche qu'il était, sans doute, déjà, écrit qu'il suivrait un jour les traces de son pappy de footballeur.
Il a commencé par le GFCA. A poursuivi avec le Sporting. Et aujourd'hui, il arrive à Toulouse où la réputation de Pierre l'a, bien sûr, précédé.
En tout cas à Toulouse, on aime à rappeler que Yannick ne sera pas le premier Cahuzac à porter la tunique toulousaine.
Il y a soixante ans, Pierre, son grand-père, fut l'un des vainqueurs de la Coupe de France face à Angers (6-3), du côté de stade de Colombes.
Mais ce n'est pas tout.
Plus tard comme entraîneur - c'était en 1982- il permit au TFC de retrouver l'élite du football français.
Aujourd'hui un autre Cahuzac arrive dans le club de la Ville rose.
Comme le précédent, il ne décevra pas.
En tout cas Bastia on regrettera ce milieu de terrain de caractère, gentleman hors des terrains, qui a défendu le "bleu" du Sporting, parfois avec excès sans doute, mais avec une belle constance, que l'on ne retrouve plus, hélas et depuis belle lurette, à ce niveau.
Rien que pour cela Yannick aurait mérité de partir autrement que dans les conditions qui sont celles du Sporting aujourd'hui !
Forza Cahu.
Au TFC, on sera avec toi !
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