L'appareil qui s'est écrasé au-dessus de Urtaca
Le petit avion, immatriculé N717ND, avait décollé vers 12h45 de l'aéroport de Calvi-Sainte Catherine à destination de Rome et non pas l'Ile d'Elbe comme cela avait été annoncé dès que l'appareil a disparu des écrans radar des contrôleurs aériens quelques minutes plus tard…
Mais il il n'a jamais pu franchir la crête d'Urtaca.
Il est vrai que l'orage grondait sur la Balagne et que la couverture nuageuse était très importante sur la microrégion.
Toujours est-il que sur le coup de 13 heures l'avions heurtait la montagne à 50 mètres, à peine, du sommet.
Dès lors plus de signe de vie de l'appareil.
L'alerte était donnée par la gendarmerie aérienne et le plan Sater (sauvetage aéro-terrestre) déclenché à partir de la préfecture de la Haute-Corse.
D'importants moyens ont alors convergé vers la région d'Urtaca où le petit Piper PA 28 avait disparu des écrans radar. Des gendarmes, le groupe de secours en montagne du Sdis de Haute-Corse, les montagnards du PGHM et tous les moyens indispensables à ce genre d'opération étaient concentrés sur le petit stade du village du Haut-Nebbio.
Finalement c'est la balise de détresse de l'avion qui en se déclenchant allait permettre aux sauveteurs de situer précisément l'endroit du crash sous la crête d'Urtaca à 50 m à peine du sommet qui culmine à près de 1 300 m.
Mais la météo n'a pas facilité la tâche des sauveteurs contraints d'opérer dans des conditions difficiles.
Leur ténacité a néanmoins permis de retrouver la carcasse de l'appareil avec deux victimes à proximité. La troisième était encore dans la carlingue disloquée du petit avion de tourisme.
Les victimes - deux hommes et une femme - seraient d'origine hollandaise. Il s'agirait de Willy De Graeve et de Roy Julder.La troisième personne n'a pas pu être identifiée.
Mais il il n'a jamais pu franchir la crête d'Urtaca.
Il est vrai que l'orage grondait sur la Balagne et que la couverture nuageuse était très importante sur la microrégion.
Toujours est-il que sur le coup de 13 heures l'avions heurtait la montagne à 50 mètres, à peine, du sommet.
Dès lors plus de signe de vie de l'appareil.
L'alerte était donnée par la gendarmerie aérienne et le plan Sater (sauvetage aéro-terrestre) déclenché à partir de la préfecture de la Haute-Corse.
D'importants moyens ont alors convergé vers la région d'Urtaca où le petit Piper PA 28 avait disparu des écrans radar. Des gendarmes, le groupe de secours en montagne du Sdis de Haute-Corse, les montagnards du PGHM et tous les moyens indispensables à ce genre d'opération étaient concentrés sur le petit stade du village du Haut-Nebbio.
Finalement c'est la balise de détresse de l'avion qui en se déclenchant allait permettre aux sauveteurs de situer précisément l'endroit du crash sous la crête d'Urtaca à 50 m à peine du sommet qui culmine à près de 1 300 m.
Mais la météo n'a pas facilité la tâche des sauveteurs contraints d'opérer dans des conditions difficiles.
Leur ténacité a néanmoins permis de retrouver la carcasse de l'appareil avec deux victimes à proximité. La troisième était encore dans la carlingue disloquée du petit avion de tourisme.
Les victimes - deux hommes et une femme - seraient d'origine hollandaise. Il s'agirait de Willy De Graeve et de Roy Julder.La troisième personne n'a pas pu être identifiée.
D'importants moyens mobilisés
Le Sdis de Haute-Corse a mobilisé d'importants moyens lors de cette opération déclenchée vers 16h15 dans la cadre du plan Sater : 35 hommes au total et du matériel (ambulances, véhicule médicalisé, caméra thermique) venant des différents centres de secours proches de l'accident. De Corte, de Ponte-Leccia, de L'Ile-Rousse, de Belgodère, de Saint-Florent. Il y avait encore le Grimp, le groupe d'intervention en milieu périlleux, un groupe cynophile etc, le tout placé sous les ordres des capitaines Bourdin et Santucci, l'adjudant-chef Orsini, l'adjudant-chef Casanova, le sergent Acquaviva, le sergent Garcia, le docteur Chinelato et l'ISP Bottey…
L'avion a heurté la montagne au-dessus d'Urtaca où les conditions météorologiques étaient très mauvaises (Photo Pïerre Bona)