Depuis plusieurs années déjà, Brigitte Macron est régulièrement accusée d’être un homme. Une fake news jusqu’ici cantonnée aux réseaux sociaux et à certains cercles complotistes qui a récemment pris une autre tournure à cause d’un couple résidant en Haute-Corse.
Dans son édition de ce mercredi, le Canard Enchaîné révèle en effet qu’à la mi-janvier « Laurent et Juliette se sont retrouvés devant la 13e chambre correctionnelle de Paris », après avoir été « accusés d’introduction et de modification frauduleuses de données » concernant la première dame. « Au printemps 2024, la femme, une antivax notoire habituée des posts énervés sur Facebook, décide de faire part de son ras-le-bol général d’une drôle de façon. Elle déclare ainsi faussement, dans la rubrique « Autres personnes invalides à charge » de sa déclaration d’impôts, tous les membres du gouvernement, les députés, les sénateurs, Emmanuel Macron, le président ukrainien, qualifié de « nazi » ou encore « M. Trogneux dit Brigitte Jean-Michel » », détaille l’hebdomadaire satirique en ajoutant : « Deux jours après sa compagne, l’homme déclare deux personnes invalides à sa charge : le chef et de l’État et son épouse, présentée comme Mme Trogneux, Macron, Jean-Michel dit Brigitte ».
Or, selon le Canard, « cette modification de la déclaration de Laurent, une « remontée d’informations » dans le jargon de la Direction Générale des Finances Publiques, va intoxiquer la base de données du logiciel des Impôts, chargée d’éviter les doublons d’identité », « laquelle base générera à tort une correction des prénoms associés au numéro fiscal de Brigitte Macron ». Après avoir découvert la manipulation début septembre 2024, la première dame déposera plainte, tandis que son avocat demandera 5000 euros de réparation face au préjudice.
« À la barre, Laurent surjoue le désarroi. « Je suis sidéré par tout cela, je pensais juste que j’allais avoir une soufflante des Impôts de Bastia », s’est-il désolé », indique le Canard Enchaîné. Le parquet a recquis trois mois de prison avec sursis. La décision a été mise en délibéré au 21 février.
Dans son édition de ce mercredi, le Canard Enchaîné révèle en effet qu’à la mi-janvier « Laurent et Juliette se sont retrouvés devant la 13e chambre correctionnelle de Paris », après avoir été « accusés d’introduction et de modification frauduleuses de données » concernant la première dame. « Au printemps 2024, la femme, une antivax notoire habituée des posts énervés sur Facebook, décide de faire part de son ras-le-bol général d’une drôle de façon. Elle déclare ainsi faussement, dans la rubrique « Autres personnes invalides à charge » de sa déclaration d’impôts, tous les membres du gouvernement, les députés, les sénateurs, Emmanuel Macron, le président ukrainien, qualifié de « nazi » ou encore « M. Trogneux dit Brigitte Jean-Michel » », détaille l’hebdomadaire satirique en ajoutant : « Deux jours après sa compagne, l’homme déclare deux personnes invalides à sa charge : le chef et de l’État et son épouse, présentée comme Mme Trogneux, Macron, Jean-Michel dit Brigitte ».
Or, selon le Canard, « cette modification de la déclaration de Laurent, une « remontée d’informations » dans le jargon de la Direction Générale des Finances Publiques, va intoxiquer la base de données du logiciel des Impôts, chargée d’éviter les doublons d’identité », « laquelle base générera à tort une correction des prénoms associés au numéro fiscal de Brigitte Macron ». Après avoir découvert la manipulation début septembre 2024, la première dame déposera plainte, tandis que son avocat demandera 5000 euros de réparation face au préjudice.
« À la barre, Laurent surjoue le désarroi. « Je suis sidéré par tout cela, je pensais juste que j’allais avoir une soufflante des Impôts de Bastia », s’est-il désolé », indique le Canard Enchaîné. Le parquet a recquis trois mois de prison avec sursis. La décision a été mise en délibéré au 21 février.