Ferdinand Laigner Colonna
Né en 1988, Ferdinand Laignier-Colonna vit à Porto Vecchio. Docteur en langue et littérature françaises, après des études de lettres modernes menées à Corte et à Pise, le jeune homme s’est consacré à l’écriture. Son premier ouvrage, « Marche ou rêve » a retenu l’attention des éditions Héloïse D’Ormesson. « Je ne connaissais absolument pas Ferdinand » déclare la fille de Jean d’Ormesson. « Il nous a envoyé son manuscrit par courrier, la filière la plus classique, et on l’a trouvé excellent, c’est une vraie plume. C'est vraiment le mérite du texte seul qui lui a valu d'être publié. Le livre est d'une extrême vitalité, avec beaucoup d'humour et cet esprit facétieux et irrévérencieux qui caractérise Ferdinand ».
Si une méchante maladie grignote ses muscles, l’esprit incisif et l’humour corrosif sont bien présent en Ferdinand. Deux qualités qui font rempart contre la pitié, le mépris et l’embarras. Un jour, on lui a proposé un essai clinique prometteur. La guérison devient pour lui un horizon. Se dépouiller des souffrances, envoyer valser son fauteuil et se tenir à hauteur d’homme. Dire merde à ceux qui le condamnent d’un regard. Tout est à réinventer. Et qu’importe le prix à payer, il ne reculera plus. Désespérément drôle, sans concession, « Marche ou rêve » est le roman décomplexé d’un combat contre les négations forcées du corps. Ferdinand Laignier-Colonna frappe fort et démontre par le verbe une pugnacité sidérante.
Si une méchante maladie grignote ses muscles, l’esprit incisif et l’humour corrosif sont bien présent en Ferdinand. Deux qualités qui font rempart contre la pitié, le mépris et l’embarras. Un jour, on lui a proposé un essai clinique prometteur. La guérison devient pour lui un horizon. Se dépouiller des souffrances, envoyer valser son fauteuil et se tenir à hauteur d’homme. Dire merde à ceux qui le condamnent d’un regard. Tout est à réinventer. Et qu’importe le prix à payer, il ne reculera plus. Désespérément drôle, sans concession, « Marche ou rêve » est le roman décomplexé d’un combat contre les négations forcées du corps. Ferdinand Laignier-Colonna frappe fort et démontre par le verbe une pugnacité sidérante.