L’écriture reste le moyen le plus efficace pour faire passer un message, faire entendre un cri.
Le problème, c’est que les paroles s’en vont et les maux restent.
Furiani, l’hémicycle passionnant de passion, l’obsessionnelle antre où toute dimension n’a plus vraiment de sens.
Furiani l’ensorceleuse, là où plus rien ne compte.
Il est difficile d’en parler et d’essayer de résoudre une équation débordante de chauvinisme, même pour les plumes les plus anonymes, pourtant encrées de bleu.
Bon nombre de banderoles se sont exhibées dans ce stade, souvent justes. De celle qui a fait sourire les quatre tribunes, à celle frappée de noir qui revendiquait un fraternel hommage.
Et puis il y a celle du 13 Septembre, celle qui laisse perplexe.
Le 8 Septembre, le peuple corse saluait la Santa, mère et femme. Héritiers d’ancestrales valeurs, nous avons continuellement placé la mère et la femme dans le registre du sacré, depuis l’aube des temps, prenant soin d’elle.
Le 8 Septembre, 5 jours avant le 13 Septembre, seulement 5 jours. Il est difficile de condamner un geste, surtout lorsqu’il vient des nôtres, identitairement, il difficile de fermer les yeux quand une femme, une mère, en est la proie, surtout lorsqu’elle est des nôtres. Nous comptons, hélas, suffisamment d’adversaires, pour ne pas dire d’ennemis.
N’inventons pas encore ce jeu de fausses guerres qui nous ont tant coûté déjà. Ne redevenons plus ces soldats perdus, égarés dans les mascarades des incompréhensions.
Des noms ont été cités, certainement le prix de l’information. Son nom à elle aussi a été exposé, certainement le prix de la rancœur.
Nous sommes de ceux qui soutiennent habituellement, tout comme nous soutenons les injustes victimes du procès de ces cinq turchini, nous ne portons pas de noms pour affirmer ou condamner : l’anonymat n’est pas l’atome de la justice, sauf dans les BD.
Furiani n’est pas une bande dessinée, Furiani implore le respect, nous l’avons assez quémandé pour d’autres tristes raisons pour en devenir les bafoueurs.
Le problème, c’est que les paroles s’en vont et les maux restent.
Furiani, l’hémicycle passionnant de passion, l’obsessionnelle antre où toute dimension n’a plus vraiment de sens.
Furiani l’ensorceleuse, là où plus rien ne compte.
Il est difficile d’en parler et d’essayer de résoudre une équation débordante de chauvinisme, même pour les plumes les plus anonymes, pourtant encrées de bleu.
Bon nombre de banderoles se sont exhibées dans ce stade, souvent justes. De celle qui a fait sourire les quatre tribunes, à celle frappée de noir qui revendiquait un fraternel hommage.
Et puis il y a celle du 13 Septembre, celle qui laisse perplexe.
Le 8 Septembre, le peuple corse saluait la Santa, mère et femme. Héritiers d’ancestrales valeurs, nous avons continuellement placé la mère et la femme dans le registre du sacré, depuis l’aube des temps, prenant soin d’elle.
Le 8 Septembre, 5 jours avant le 13 Septembre, seulement 5 jours. Il est difficile de condamner un geste, surtout lorsqu’il vient des nôtres, identitairement, il difficile de fermer les yeux quand une femme, une mère, en est la proie, surtout lorsqu’elle est des nôtres. Nous comptons, hélas, suffisamment d’adversaires, pour ne pas dire d’ennemis.
N’inventons pas encore ce jeu de fausses guerres qui nous ont tant coûté déjà. Ne redevenons plus ces soldats perdus, égarés dans les mascarades des incompréhensions.
Des noms ont été cités, certainement le prix de l’information. Son nom à elle aussi a été exposé, certainement le prix de la rancœur.
Nous sommes de ceux qui soutiennent habituellement, tout comme nous soutenons les injustes victimes du procès de ces cinq turchini, nous ne portons pas de noms pour affirmer ou condamner : l’anonymat n’est pas l’atome de la justice, sauf dans les BD.
Furiani n’est pas une bande dessinée, Furiani implore le respect, nous l’avons assez quémandé pour d’autres tristes raisons pour en devenir les bafoueurs.