A Rouen, stade Robert-Diochon, Quevilly-Rouen : 0 SC Bastia : 1 (0-0)
Pour le SC Bastia : Le Cardinal (65e)
Arbitre : Mikaël Leleu
Avertissements : Sangaré (83e) à Quevilly-Rouen
Quevilly-Rouen
Lemaitre, Bansais, Padovani, Nade, Belkorchia, Sangaré, Doaby, Haddad, BAhassa, Jung, Dadoune
SC Bastia
Vincensini, Assignon, Bocognano, Le Cardinal, Quemper, Ducrocq, Salles-Lamonge, Diongue puis Vincent (63e), Robic puis Schur (63e), Raspentino, Da Silva
Après une minute de silence en mémoire de Christophe Revault, les deux équipes à la recherche du sacre national, se sont vite concentrées sur le sujet.
En effet après quelques minutes de jeu les visiteurs qui avaient essuyé un premier tir de Sangaré trouvaient le poteau gauche de Lemaitre par l'intermédiaire de Da Silva après une belle remise de la tête de Raspentino.
Diongue toujours pour les Corses prenaient à son tour sa chance sans pour autant parvenir à tromper la vigilance de Lemaitre.
Puis ce fut au tour des Normands et de Jung notamment, meilleur buteur de la compétition, de frapper sur le montant corse.
Le jeu alerte se poursuivait sur le même rythme et donnait l'occasion au Sporting de Bastia de solliciter encore Lemaître auteur d'un arrêt décisif sur une reprise de la tête de Salles-Lamonge.
Et cette première période s'achevait sur un coup-franc de Padovani qui faisait passer le frisson dans le camp des visiteurs.
Mais les Bastiais ne tardaient pas à montrer qu'ils étaient plus que jamais dans le match. En tout cas Lemaitre était tout heureux de récupérer ce ballon qui sous la pression de Da Silva pouvait prendre le chemin du but normand.
Et le Sporting de Bastia poursuivait et à l'heure de jeu c'est Sangaré qui était contraint à un second sauvetage face à Diongué.
Les Corses poussaient et ils allaient être récompensés de leurs efforts dans les minutes suivantes sur cette tête plongeante de Le Cardinal qui après un service de la tête de Raspentino trouvait le chemin des filets.
Dès lors le titre était là qui tendait les bras aux joueurs corses.
Il n'était plus que d'effectuer un ultime petit effort pour aller le cueillir logiquement au terme d'un parcours exemplaire fruit d'un travail marqué par le sceau de la passion, de l'efficacité et de la qualité...
Pour le SC Bastia : Le Cardinal (65e)
Arbitre : Mikaël Leleu
Avertissements : Sangaré (83e) à Quevilly-Rouen
Quevilly-Rouen
Lemaitre, Bansais, Padovani, Nade, Belkorchia, Sangaré, Doaby, Haddad, BAhassa, Jung, Dadoune
SC Bastia
Vincensini, Assignon, Bocognano, Le Cardinal, Quemper, Ducrocq, Salles-Lamonge, Diongue puis Vincent (63e), Robic puis Schur (63e), Raspentino, Da Silva
Après une minute de silence en mémoire de Christophe Revault, les deux équipes à la recherche du sacre national, se sont vite concentrées sur le sujet.
En effet après quelques minutes de jeu les visiteurs qui avaient essuyé un premier tir de Sangaré trouvaient le poteau gauche de Lemaitre par l'intermédiaire de Da Silva après une belle remise de la tête de Raspentino.
Diongue toujours pour les Corses prenaient à son tour sa chance sans pour autant parvenir à tromper la vigilance de Lemaitre.
Puis ce fut au tour des Normands et de Jung notamment, meilleur buteur de la compétition, de frapper sur le montant corse.
Le jeu alerte se poursuivait sur le même rythme et donnait l'occasion au Sporting de Bastia de solliciter encore Lemaître auteur d'un arrêt décisif sur une reprise de la tête de Salles-Lamonge.
Et cette première période s'achevait sur un coup-franc de Padovani qui faisait passer le frisson dans le camp des visiteurs.
Mais les Bastiais ne tardaient pas à montrer qu'ils étaient plus que jamais dans le match. En tout cas Lemaitre était tout heureux de récupérer ce ballon qui sous la pression de Da Silva pouvait prendre le chemin du but normand.
Et le Sporting de Bastia poursuivait et à l'heure de jeu c'est Sangaré qui était contraint à un second sauvetage face à Diongué.
Les Corses poussaient et ils allaient être récompensés de leurs efforts dans les minutes suivantes sur cette tête plongeante de Le Cardinal qui après un service de la tête de Raspentino trouvait le chemin des filets.
Dès lors le titre était là qui tendait les bras aux joueurs corses.
Il n'était plus que d'effectuer un ultime petit effort pour aller le cueillir logiquement au terme d'un parcours exemplaire fruit d'un travail marqué par le sceau de la passion, de l'efficacité et de la qualité...