L’Assemblée nationale a institué le 6 décembre 2012 le 19 mars comme journée nationale du souvenir et du recueillement à la mémoire des morts civils et militaires de la guerre d'Algérie et des combats du Maroc et de Tunisie 1952-1962.
Cette cérémonie honore à la fois les victimes civiles et militaires afin que, plus de 50 ans après, ils ne tombent pas dans l'oubli le 19 mars représentant la date anniversaire du cessez-le-feu en Algérie en 1962 qui mit un terme à des affrontements qui auront duré 10 ans.
"Cérémonie perturbée"
Peu après la cérémonie, perturbée lors de la lecture du message du Secrétaire d'Etat, le préfet de Corse faisait part de sa réprobation en ces termes.
Ce matin, comme ce fut le cas le 5 décembre dernier, la cérémonie nationale du souvenir et de recueillement à la mémoire des victimes civiles et militaires de la guerre d’Algérie et des combats en Tunisie et au Maroc qui se déroulait à Ajaccio, a été perturbée lors de la lecture du message du Secrétaire d’Etat, chargé des Anciens combattants et de la mémoire.
Le préfet de Corse, préfet de Corse-du-Sud, condamne cette attitude, rappelant que les cérémonies patriotiques, qui honorent la mémoire des hommes et des femmes victimes des conflits qu’a connus la France, en présence de leur famille, ne peuvent être le lieu de tels comportements.
Cette cérémonie honore à la fois les victimes civiles et militaires afin que, plus de 50 ans après, ils ne tombent pas dans l'oubli le 19 mars représentant la date anniversaire du cessez-le-feu en Algérie en 1962 qui mit un terme à des affrontements qui auront duré 10 ans.
"Cérémonie perturbée"
Peu après la cérémonie, perturbée lors de la lecture du message du Secrétaire d'Etat, le préfet de Corse faisait part de sa réprobation en ces termes.
Ce matin, comme ce fut le cas le 5 décembre dernier, la cérémonie nationale du souvenir et de recueillement à la mémoire des victimes civiles et militaires de la guerre d’Algérie et des combats en Tunisie et au Maroc qui se déroulait à Ajaccio, a été perturbée lors de la lecture du message du Secrétaire d’Etat, chargé des Anciens combattants et de la mémoire.
Le préfet de Corse, préfet de Corse-du-Sud, condamne cette attitude, rappelant que les cérémonies patriotiques, qui honorent la mémoire des hommes et des femmes victimes des conflits qu’a connus la France, en présence de leur famille, ne peuvent être le lieu de tels comportements.