Vincè Colonna, toujours positif et souriant, un jeune ajaccien de 31 ans qui aiment partager sa joie de vivre.
Qui se cache derrière La petite culotte ?
- Je n’ai pas l’impression de jouer des rôles et de me cacher derrière un nom de scène, j’essaye d’être moi-même au maximum. Derrière La petite culotte c’est un jeune homme de 31 ans du nom de Vincè Colonna que l’on peut retrouver. Un jeune corse passionné par la musique, le monde et par sa terre, toujours en mouvement. C’est ainsi que je me définirai. Je suis quelqu’un qui se donne à 200% dans tout ce qu’il fait, et d’ailleurs je suis toujours en train de faire quelque chose ! J’ai beaucoup voyagé, vécu dans des grandes villes comme New York, Londres et Paris pendant quelques années, puis enrichi de mes expériences à l’international je suis revenu en Corse, notre île si fabuleuse. J’y ai crée un restaurant à Bonifacio qui s’appelait La petite culotte où la musique était très présente, puis je l’ai vendu et je suis reparti en voyage pendant trois ans. Cette fois les destinations étaient différentes. J’ai surtout visité des pays pauvres où j’ai côtoyé la population, vivant leur quotidien. Ça m’a beaucoup inspiré, je me suis investi pour ces gens. Grâce à ma petite notoriété sur Instagram j’ai pu récolter des fonds pour effectuer des actions humanitaires. Des fois c’était juste acheter des centaines de bouteilles d’eau pour les cubains mais cette reconnaissance dans leur regard c’était fabuleux.
- Comment êtes-vous arrivé dans le monde de la musique ?
- J’ai commencé la musique assez tôt et dès mes 18 ans je chantais avec Canta u populu corsu jusqu’à mes 21 ans. Ça a été une expérience magique qui m’a permis de savoir ce que je voulais faire. J’ai étudié la musique deux ans à Pigalle à l’école Atla puis un an à Londres dans The Institute, un cursus qui m’a permis de faire énormément de chant pendant un an et dans plusieurs langues.
- Pourquoi ce nom de scène ?
- C’est un clin d’œil au restaurant que j’avais à Bonifacio. Déjà à l’époque, l’idée m’était venue en tête de lui donner ce nom là car c’était accrocheur et les gens le gardaient en tête. Puis comme tout le monde m’identifiait au restaurant et à son ambiance j’ai trouvé que ça correspondait bien. Surtout que le credo de l’endroit était de faire la fête, de s’amuser et de faire de nouvelles rencontres tout en y mangeant bien.
- Outre la musique et les voyages des passions en particulier ?
- Je suis quelqu’un de très famille, dès que je peux je rentre à la maison et rien que le fait de discuter avec mes parents et ma sœur c’est un vrai bonheur pour moi. Puis je suis passionné par mon île. Vraiment. J’ai voyagé dans pas mal de pays mais la Corse … c’est extraordinaire, ça inspire toute cette beauté. Pour preuve je me suis levé à 7 heures ce matin pour sillonner les routes de l’île et faire des vidéos avec mon drone. En ce moment même je suis dans le Niolu enneigé et c’est terrible !
- Comment vous définiriez-vous en tant qu’artiste ?
- C’est assez particulier et propre à beaucoup d’artistes je pense mais actuellement ce que je veux c’est donner un peu de cette joie de vivre que je retrouve chez moi et que j’ai pu voir dans les pays pauvres. Là-bas les gens n’ont rien mais ils sont heureux et c’est cette joie de vivre que je veux communiquer. Quand je suis sur scène je fais tout pour donner mon énergie. Et J’ai l’impression que les gens qui viennent me voir apprécient cela, cette énergie, car ils viennent et ils s’amusent.
- Quel est votre secret pour être toujours positif et en pleine forme ?
- Ça a été dur à un moment dans ma vie. Pendant mes 21 ans, j’ai eu une période très difficile et j’ai cru que je ne m’en sortirai jamais mais finalement j’ai réussi à aller de l’avant et aujourd’hui je me dis que rien ne pourra m’arrêter alors j’y vais à fond. Je pratique également du yoga tous les jours, environ 40 minutes, de la natation et de la course à pied car je pense qu’il faut être bien dans son corps pour être bien dans son esprit.
- L’année 2020 a été difficile pour les intermittents du spectacle quel est votre sentiment sur cette année compliquée ?
- J’ai été en quelque sorte chanceux car je ne suis pas assez connu pour jouer dans des festivals donc les annulations de cet été ne m’ont pas impacté. Quelques mariages ont été annulés mais j’ai pu réussir à faire les dates nécessaires à l’obtention du statut d’intermittent grâce aux soirées dans les bars et restaurants qui étaient ouverts cet été. C’était assez particulier surtout à la fin de la saison car on faisait très attention et dans certains endroits les gens n’avaient pas le droit de se lever. Un comble pour moi qui adore faire danser les gens. Mais je suis très positif et je suis sûr que ça va aller pour la suite. Je suis d’ailleurs quasiment complet pour la saison 2021.
- Des projets pour 2021 ?
- Oui ! Je sors le titre « La Goffa Lolita », on explose, on fait des millions et des millions de vues et on se régale (rires). J’aimerai me rapprocher d’un manager qui m’aiderait à préparer un album qui me ressemble. J’ai déjà quatre créations plus « La Goffa Lolita » dont les droits m’ont été cédés et j’aimerai faire des reprises de chansons corses mises au goût du jour. Après, des projets j’en ai plein. Je ne peux pas m’empêcher de faire des trucs !
- Je n’ai pas l’impression de jouer des rôles et de me cacher derrière un nom de scène, j’essaye d’être moi-même au maximum. Derrière La petite culotte c’est un jeune homme de 31 ans du nom de Vincè Colonna que l’on peut retrouver. Un jeune corse passionné par la musique, le monde et par sa terre, toujours en mouvement. C’est ainsi que je me définirai. Je suis quelqu’un qui se donne à 200% dans tout ce qu’il fait, et d’ailleurs je suis toujours en train de faire quelque chose ! J’ai beaucoup voyagé, vécu dans des grandes villes comme New York, Londres et Paris pendant quelques années, puis enrichi de mes expériences à l’international je suis revenu en Corse, notre île si fabuleuse. J’y ai crée un restaurant à Bonifacio qui s’appelait La petite culotte où la musique était très présente, puis je l’ai vendu et je suis reparti en voyage pendant trois ans. Cette fois les destinations étaient différentes. J’ai surtout visité des pays pauvres où j’ai côtoyé la population, vivant leur quotidien. Ça m’a beaucoup inspiré, je me suis investi pour ces gens. Grâce à ma petite notoriété sur Instagram j’ai pu récolter des fonds pour effectuer des actions humanitaires. Des fois c’était juste acheter des centaines de bouteilles d’eau pour les cubains mais cette reconnaissance dans leur regard c’était fabuleux.
- Comment êtes-vous arrivé dans le monde de la musique ?
- J’ai commencé la musique assez tôt et dès mes 18 ans je chantais avec Canta u populu corsu jusqu’à mes 21 ans. Ça a été une expérience magique qui m’a permis de savoir ce que je voulais faire. J’ai étudié la musique deux ans à Pigalle à l’école Atla puis un an à Londres dans The Institute, un cursus qui m’a permis de faire énormément de chant pendant un an et dans plusieurs langues.
- Pourquoi ce nom de scène ?
- C’est un clin d’œil au restaurant que j’avais à Bonifacio. Déjà à l’époque, l’idée m’était venue en tête de lui donner ce nom là car c’était accrocheur et les gens le gardaient en tête. Puis comme tout le monde m’identifiait au restaurant et à son ambiance j’ai trouvé que ça correspondait bien. Surtout que le credo de l’endroit était de faire la fête, de s’amuser et de faire de nouvelles rencontres tout en y mangeant bien.
- Outre la musique et les voyages des passions en particulier ?
- Je suis quelqu’un de très famille, dès que je peux je rentre à la maison et rien que le fait de discuter avec mes parents et ma sœur c’est un vrai bonheur pour moi. Puis je suis passionné par mon île. Vraiment. J’ai voyagé dans pas mal de pays mais la Corse … c’est extraordinaire, ça inspire toute cette beauté. Pour preuve je me suis levé à 7 heures ce matin pour sillonner les routes de l’île et faire des vidéos avec mon drone. En ce moment même je suis dans le Niolu enneigé et c’est terrible !
- Comment vous définiriez-vous en tant qu’artiste ?
- C’est assez particulier et propre à beaucoup d’artistes je pense mais actuellement ce que je veux c’est donner un peu de cette joie de vivre que je retrouve chez moi et que j’ai pu voir dans les pays pauvres. Là-bas les gens n’ont rien mais ils sont heureux et c’est cette joie de vivre que je veux communiquer. Quand je suis sur scène je fais tout pour donner mon énergie. Et J’ai l’impression que les gens qui viennent me voir apprécient cela, cette énergie, car ils viennent et ils s’amusent.
- Quel est votre secret pour être toujours positif et en pleine forme ?
- Ça a été dur à un moment dans ma vie. Pendant mes 21 ans, j’ai eu une période très difficile et j’ai cru que je ne m’en sortirai jamais mais finalement j’ai réussi à aller de l’avant et aujourd’hui je me dis que rien ne pourra m’arrêter alors j’y vais à fond. Je pratique également du yoga tous les jours, environ 40 minutes, de la natation et de la course à pied car je pense qu’il faut être bien dans son corps pour être bien dans son esprit.
- L’année 2020 a été difficile pour les intermittents du spectacle quel est votre sentiment sur cette année compliquée ?
- J’ai été en quelque sorte chanceux car je ne suis pas assez connu pour jouer dans des festivals donc les annulations de cet été ne m’ont pas impacté. Quelques mariages ont été annulés mais j’ai pu réussir à faire les dates nécessaires à l’obtention du statut d’intermittent grâce aux soirées dans les bars et restaurants qui étaient ouverts cet été. C’était assez particulier surtout à la fin de la saison car on faisait très attention et dans certains endroits les gens n’avaient pas le droit de se lever. Un comble pour moi qui adore faire danser les gens. Mais je suis très positif et je suis sûr que ça va aller pour la suite. Je suis d’ailleurs quasiment complet pour la saison 2021.
- Des projets pour 2021 ?
- Oui ! Je sors le titre « La Goffa Lolita », on explose, on fait des millions et des millions de vues et on se régale (rires). J’aimerai me rapprocher d’un manager qui m’aiderait à préparer un album qui me ressemble. J’ai déjà quatre créations plus « La Goffa Lolita » dont les droits m’ont été cédés et j’aimerai faire des reprises de chansons corses mises au goût du jour. Après, des projets j’en ai plein. Je ne peux pas m’empêcher de faire des trucs !