"En réaction à votre article concernant la liaison Calv -Bordeaux assurée par la compagnie aérienne Volotea avec 10 heures de retard , je tiens à vous informer des péripéties d'un autre vol Volotéa du Samedi 9 Août dont j'étais moi-même passager" nous Stéphane
"Nous étions 90 passagers au départ de l'aéroport d'Ajaccio en direction de Brest ; Notre vol était programmé pour 18h35, Samedi 9 Août.
Nous sommes descendus tous sur le tarmac de l'aéroport Napoléon Bonaparte à 18h30 pour embarquement immédiat mais au moment de monter dans l'avion , le personnel nous a fait part d'un problème de batteries qu'il fallait recharger.
Au départ, l'incident devait durer une demi-heure. Mais les heures ont défilé sans solution et sans communication.
Impossible pour nous passagers de contacter la compagnie Volotea : nous avons dû nous satisfaire des maigres explications du personnel (exemplaire il faut le souligner !) de l'aéroport et de la CCI Corse-du-Sud.
Il y avait parmi nous de nombreux jeunes enfants et un couple de nonagénaires.
Vers 1 heure du matin, une partie des passagers (les familles ayant des jeunes enfants, mon épouse et mon fils de 4 ans en faisaient partie) a été prise en charge par des représentants d'agence de voyage et dirigée vers une chambre d'hôtel. Mon épouse et mon fils y sont arrivés à 2 heures du matin. D'autres passagers se sont faits héberger par de la famille ou des proches dans la région d'Ajaccio .
38 passagers dont je faisais partie ont passé la nuit sur un matelas dans l'aéroport d'Ajaccio . La compagnie Volotea ne nous a proposé ni boissons, ni repas.
Nous avons finalement décollé d'Ajaccio ce dimanche à 10h40 et nous sommes arrivés exténués mais en colère à Brest à 13 heures soit un retard de près de 17 heures."
"Nous étions 90 passagers au départ de l'aéroport d'Ajaccio en direction de Brest ; Notre vol était programmé pour 18h35, Samedi 9 Août.
Nous sommes descendus tous sur le tarmac de l'aéroport Napoléon Bonaparte à 18h30 pour embarquement immédiat mais au moment de monter dans l'avion , le personnel nous a fait part d'un problème de batteries qu'il fallait recharger.
Au départ, l'incident devait durer une demi-heure. Mais les heures ont défilé sans solution et sans communication.
Impossible pour nous passagers de contacter la compagnie Volotea : nous avons dû nous satisfaire des maigres explications du personnel (exemplaire il faut le souligner !) de l'aéroport et de la CCI Corse-du-Sud.
Il y avait parmi nous de nombreux jeunes enfants et un couple de nonagénaires.
Vers 1 heure du matin, une partie des passagers (les familles ayant des jeunes enfants, mon épouse et mon fils de 4 ans en faisaient partie) a été prise en charge par des représentants d'agence de voyage et dirigée vers une chambre d'hôtel. Mon épouse et mon fils y sont arrivés à 2 heures du matin. D'autres passagers se sont faits héberger par de la famille ou des proches dans la région d'Ajaccio .
38 passagers dont je faisais partie ont passé la nuit sur un matelas dans l'aéroport d'Ajaccio . La compagnie Volotea ne nous a proposé ni boissons, ni repas.
Nous avons finalement décollé d'Ajaccio ce dimanche à 10h40 et nous sommes arrivés exténués mais en colère à Brest à 13 heures soit un retard de près de 17 heures."
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