Un chantier, « ça fait bien une soixantaine d’années » que la rue Borgu n’en avait pas vu s’installer un, au pied de ses bastions porto-vecchiais, confirme Nathalie Apostolatos, l’adjointe en maire en charge du dossier. La rue Borgu, c’est cette artère étroite que l’on emprunte quand on franchit la porte génoise. Elle est notamment très fréquentée l’été par les touristes, qui prennent d’assaut ses bars et ses restaurants. Et si l’on s’en tient au planning annoncé par la municipalité, l’attente prendra bientôt fin : la rue Borgu bénéficiera d’un lifting complet à l’horizon 2027.
Assainissement, voirie et éclairage public
Les travaux porteront sur la rénovation de la chaussée, qui est ouverte à la circulation routière, à l’assainissement (réseaux d’eau potable et d’eaux usées), à l’enfouissement du réseau d’éclairage public et à l’installation de nouveaux mobiliers urbains. Ils visent à moderniser ces infrastructures vieillissantes, tout en valorisant le patrimoine architectural et historique de la vieille ville, en facilitant les déplacements des piétons et en renforçant l’attractivité touristique et commerciale. « C’est la continuité des travaux de requalification urbaine du centre-ville » qui avaient été menés sous l’ancienne mandature, a présenté le maire Jean-Christophe Angelini, qui a fait mention de « la volonté partagée de donner à notre coeur de ville l’élan qui lui manque encore », en complément de deux études sur la faisabilité de deux autres projets : « Un parking à côté de l’hôtel de ville et une connexion entre la ville et le port. »
Selon le projet, la rue Borgu sera entièrement pavée, avec en son centre, un caniveau en granit. Le long des murs, des jardinières et des plantes grimpantes viendront végétaliser l’ensemble. En 2024, les rues Zoé-Grimaldi et Aspirant-Michelin avaient déjà été rénovées. Celles du Colonel-Quenza, Colonna-Cesari et Bonaparte sont actuellement en travaux. L’opération de rénovation, chiffrée un peu de 2 millions d’euros (et financée par 80 % d’aides publiques), portera désormais sur les ruelles Jérôme-Léandri, la rue Borgu (qui s’étend de la place du Bastion jusqu’à la porte génoise), les rues Sampieru-Corsu et de la Citadelle. Des travaux qui s’échelonneront sur trois ans, jusqu’en 2027.
Assainissement, voirie et éclairage public
Les travaux porteront sur la rénovation de la chaussée, qui est ouverte à la circulation routière, à l’assainissement (réseaux d’eau potable et d’eaux usées), à l’enfouissement du réseau d’éclairage public et à l’installation de nouveaux mobiliers urbains. Ils visent à moderniser ces infrastructures vieillissantes, tout en valorisant le patrimoine architectural et historique de la vieille ville, en facilitant les déplacements des piétons et en renforçant l’attractivité touristique et commerciale. « C’est la continuité des travaux de requalification urbaine du centre-ville » qui avaient été menés sous l’ancienne mandature, a présenté le maire Jean-Christophe Angelini, qui a fait mention de « la volonté partagée de donner à notre coeur de ville l’élan qui lui manque encore », en complément de deux études sur la faisabilité de deux autres projets : « Un parking à côté de l’hôtel de ville et une connexion entre la ville et le port. »
Selon le projet, la rue Borgu sera entièrement pavée, avec en son centre, un caniveau en granit. Le long des murs, des jardinières et des plantes grimpantes viendront végétaliser l’ensemble. En 2024, les rues Zoé-Grimaldi et Aspirant-Michelin avaient déjà été rénovées. Celles du Colonel-Quenza, Colonna-Cesari et Bonaparte sont actuellement en travaux. L’opération de rénovation, chiffrée un peu de 2 millions d’euros (et financée par 80 % d’aides publiques), portera désormais sur les ruelles Jérôme-Léandri, la rue Borgu (qui s’étend de la place du Bastion jusqu’à la porte génoise), les rues Sampieru-Corsu et de la Citadelle. Des travaux qui s’échelonneront sur trois ans, jusqu’en 2027.