C’est ce qu’ont tenu à faire les anciens du Train, dans le cadre du 212° anniversaire de la création de leur arme, le 26 mars 1807 par l’Empereur Napoléon 1er.
Pour la circonstance, une délégation de quatre officiers supérieurs de l’amicale et quelques amis, s’est rendue à la résidence « l’Olivier Bleu » à Ajaccio, pour marquer ce jour et honorer leur doyen, mais aussi, et surtout, afin de prendre rendez-vous pour ses cents ans en janvier 2020.
Né à Corte le 1er janvier 1920, Jean Narducci commence une carrière militaire en 1938 dans « la Coloniale ». Après le Liban, la Syrie et le Sénégal, il rejoint la Résistance dans le Vercors en août 1944. C’est dans ce massif, qu’à la tête de sa section de FFI il est blessé au genou lors de l’attaque d’une position allemande le 29 août. Caché pendant deux jours dans un bois, soigné ensuite par des résistants au maquis, il reprend le combat lorsque les troupes françaises débarquent en Provence et remontent la vallée du Rhône. C’est avec la 2° Division d’Infanterie Marocaine, qu’il participe aux combats victorieux qui le conduiront jusqu’en Allemagne, à Lindau sur le lac de Constance. Par la suite, ayant changé d’arme au profit du Train, l’adjudant-chef Narducci va servir au Maroc, au Cambodge, à Vienne dans l’Isère, avant de prendre sa retraite à Marseille en1960.
Chevalier de la Légion d'honneur, Médaillé militaire, titulaire de la Croix de guerre 1939-45, il effectue une seconde carrière dans le civil avant de se retirer définitivement à Ajaccio et rejoindre « l’Olivier Bleu » il y a quelques années.
Pour la circonstance, une délégation de quatre officiers supérieurs de l’amicale et quelques amis, s’est rendue à la résidence « l’Olivier Bleu » à Ajaccio, pour marquer ce jour et honorer leur doyen, mais aussi, et surtout, afin de prendre rendez-vous pour ses cents ans en janvier 2020.
Né à Corte le 1er janvier 1920, Jean Narducci commence une carrière militaire en 1938 dans « la Coloniale ». Après le Liban, la Syrie et le Sénégal, il rejoint la Résistance dans le Vercors en août 1944. C’est dans ce massif, qu’à la tête de sa section de FFI il est blessé au genou lors de l’attaque d’une position allemande le 29 août. Caché pendant deux jours dans un bois, soigné ensuite par des résistants au maquis, il reprend le combat lorsque les troupes françaises débarquent en Provence et remontent la vallée du Rhône. C’est avec la 2° Division d’Infanterie Marocaine, qu’il participe aux combats victorieux qui le conduiront jusqu’en Allemagne, à Lindau sur le lac de Constance. Par la suite, ayant changé d’arme au profit du Train, l’adjudant-chef Narducci va servir au Maroc, au Cambodge, à Vienne dans l’Isère, avant de prendre sa retraite à Marseille en1960.
Chevalier de la Légion d'honneur, Médaillé militaire, titulaire de la Croix de guerre 1939-45, il effectue une seconde carrière dans le civil avant de se retirer définitivement à Ajaccio et rejoindre « l’Olivier Bleu » il y a quelques années.