A l'énoncé du verdict, les parties civiles n'ont pas caché leur déception.
La famille comptait beaucoup sur ce procès pour enfin connaître la vérité. Malheureusement ses membres n'ont pas eu les explications qu'ils étaient venus chercher.
L'avocat général Gilles Rognoni avait pourtant requis jeudi de 12 à 15 ans de réclusion, estimant cependant que, si le jeune Andy était accessible à une sanction pénale, son discernement était altéré au moment des faits.
L'audience a vu défiler de nombreux experts psychiatres à la barre, dont les avis ont, comme lors du premier procès, divergé sur la responsabilité du jeune homme, mais ont majoritairement pointé ses "troubles de la personnalité".
Dans ce procès à huis clos, la question de l'altération ou de l'abolition du discernement du jeune homme aux moments des actes est apparue comme centrale, les faits étant clairement établis et l'accusé les ayant reconnus.
Au terme de cinq heures de délibéré, la cour d’assises des Bouches-du-Rhône a reconnu que Andy qui comparaissait pour le quadruple meurtre de son père, sa mère et ses frères a été jugé irresponsable, comme en première instance.
La famille comptait beaucoup sur ce procès pour enfin connaître la vérité. Malheureusement ses membres n'ont pas eu les explications qu'ils étaient venus chercher.
L'avocat général Gilles Rognoni avait pourtant requis jeudi de 12 à 15 ans de réclusion, estimant cependant que, si le jeune Andy était accessible à une sanction pénale, son discernement était altéré au moment des faits.
L'audience a vu défiler de nombreux experts psychiatres à la barre, dont les avis ont, comme lors du premier procès, divergé sur la responsabilité du jeune homme, mais ont majoritairement pointé ses "troubles de la personnalité".
Dans ce procès à huis clos, la question de l'altération ou de l'abolition du discernement du jeune homme aux moments des actes est apparue comme centrale, les faits étant clairement établis et l'accusé les ayant reconnus.
Au terme de cinq heures de délibéré, la cour d’assises des Bouches-du-Rhône a reconnu que Andy qui comparaissait pour le quadruple meurtre de son père, sa mère et ses frères a été jugé irresponsable, comme en première instance.