Il est vrai que le quai des Torpilleurs n’a pas été épargné par la tempête et les détritus qui se sont amassés tout au long de ce no man’s land où les bateaux soulevés comme des fétus de paille sont devenus inutilisables et disparaissent au fil des jours. Pas si facile.
Mercredi matin, en plus des pompiers qui agissaient dans les eaux troubles de la rade, une trentaine de bénévoles ont poursuivi une mission entamée au lendemain de la tempête. Des bouteilles, du bois à ne plus savoir qu’en faire, des meubles, des tas d’ordures ménagères et ces fameuses canettes de bière qui emplissent les anfractuosités des rochers brise-lames posés le long de la rocade.
Les soldats du feu à l’eau…
Cette fois, les pompiers ont fait mieux encore. Ils étaient équipés de combinaisons et de bouteilles de plongée pour commencer à sortir les restes de bateau qui flottent dans la rade, mais pas seulement. Parmi le matériel récupéré, des dizaines de caddy, ces charriots de grande surface, des vélos mais surtout quelques coques et moteurs que seul un camion-grue peut récupérer. François Filoni, sur place, nous précisait que cette opération avait été rendue possible grâce aux établissements Anchetti qui ont mis leur matériel à la disposition des pompiers et bénévoles.
Ce qui avait déjà été fait le lendemain de la tempête avait permis de récupérer un amas de déchets et de crasse accumulés depuis des années. Hier, le travail de la matinée a permis d’en découvrir autant sinon plus, notamment en mer, avec la récupération d’annexes complètement détruites mais flottant encore, des morceaux de voiliers et des mats revenus des profondeurs de la rade. Cette matinée a permis de remettre un peu d’ordre sur ce secteur de la ville mais il y a encore beaucoup à faire pour mieux mettre en valeur le parking et les alentours, de plus en plus fréquentés.
En attendant, chapeau aux pompiers de la ville et aux bénévoles qui se déplacent au moindre appel.
J. F.
Mercredi matin, en plus des pompiers qui agissaient dans les eaux troubles de la rade, une trentaine de bénévoles ont poursuivi une mission entamée au lendemain de la tempête. Des bouteilles, du bois à ne plus savoir qu’en faire, des meubles, des tas d’ordures ménagères et ces fameuses canettes de bière qui emplissent les anfractuosités des rochers brise-lames posés le long de la rocade.
Les soldats du feu à l’eau…
Cette fois, les pompiers ont fait mieux encore. Ils étaient équipés de combinaisons et de bouteilles de plongée pour commencer à sortir les restes de bateau qui flottent dans la rade, mais pas seulement. Parmi le matériel récupéré, des dizaines de caddy, ces charriots de grande surface, des vélos mais surtout quelques coques et moteurs que seul un camion-grue peut récupérer. François Filoni, sur place, nous précisait que cette opération avait été rendue possible grâce aux établissements Anchetti qui ont mis leur matériel à la disposition des pompiers et bénévoles.
Ce qui avait déjà été fait le lendemain de la tempête avait permis de récupérer un amas de déchets et de crasse accumulés depuis des années. Hier, le travail de la matinée a permis d’en découvrir autant sinon plus, notamment en mer, avec la récupération d’annexes complètement détruites mais flottant encore, des morceaux de voiliers et des mats revenus des profondeurs de la rade. Cette matinée a permis de remettre un peu d’ordre sur ce secteur de la ville mais il y a encore beaucoup à faire pour mieux mettre en valeur le parking et les alentours, de plus en plus fréquentés.
En attendant, chapeau aux pompiers de la ville et aux bénévoles qui se déplacent au moindre appel.
J. F.