Cette rencontre s’est déroulée en présence de Bernard Schmeltz, préfet de Corse-du Sud et de Stéphanie Seydoux, chef du service des droits des femmes et de l’égalité entre les femmes et les hommes du ministère des Familles, de l’Enfance et des Droits des femmes, Mony Raccah secrétaire général de la CMA de la Corse-du-Sud, Fançois Gabrielli président, Marie-Ange Susini Directrice régionale aux Droits des Femmes et à l’Egalité.
Une session par an depuis 20 ans pour un brevet aujourd’hui reconnu
Trop longtemps le conjoint du chef d’entreprise avait un rôle considéré comme purement privé, alors qu’il était en réalité son bras droit puisqu’il l’assistait dans la gestion administrative, comptable et commerciale de l'entreprise. Depuis la loi du 3 août 2005 en faveur des PME et depuis le décret du 1er août 2006 sur le statut du conjoint collaborateur dans les très petites entreprises, le statut du conjoint est enfin défini, encadré. La retraite, la succession dans l’entreprise, la formation sont désormais un droit pour l’assistante du chef d’entreprise.
Ce diplôme existe depuis 20 ans a été mis en œuvre avec le soutien du Préfet Claude Erignac. Il avait œuvré pour que ce diplôme puisse voir le jour afin de donner un statut social à ces épouses et compagnes qui jusqu’alors s’activaient dans l’ombre de leurs conjoints.
Aujourd’hui les conjointes collaboratrices de chefs d’entreprises sont reconnues dans leurs responsabilités et dans leur statut. En vingt ans 144 brevets ont été décernés, matérialisant une attente forte en termes de formation dans les domaines aussi variés et importants que la gestion, le juridique, l’informatique, la bureautique…
Les témoignages dans la salle, d’anciennes lauréates au brevet ont prouvé que ces femmes ont trouvé après leur diplôme, une nouvelle place au sein de l’entreprise et de leur conjoint. Une position plus affirmée, elles prennent plus d’initiatives et parfois elles montent même leur propre projet.
Une session par an depuis 20 ans pour un brevet aujourd’hui reconnu
Trop longtemps le conjoint du chef d’entreprise avait un rôle considéré comme purement privé, alors qu’il était en réalité son bras droit puisqu’il l’assistait dans la gestion administrative, comptable et commerciale de l'entreprise. Depuis la loi du 3 août 2005 en faveur des PME et depuis le décret du 1er août 2006 sur le statut du conjoint collaborateur dans les très petites entreprises, le statut du conjoint est enfin défini, encadré. La retraite, la succession dans l’entreprise, la formation sont désormais un droit pour l’assistante du chef d’entreprise.
Ce diplôme existe depuis 20 ans a été mis en œuvre avec le soutien du Préfet Claude Erignac. Il avait œuvré pour que ce diplôme puisse voir le jour afin de donner un statut social à ces épouses et compagnes qui jusqu’alors s’activaient dans l’ombre de leurs conjoints.
Aujourd’hui les conjointes collaboratrices de chefs d’entreprises sont reconnues dans leurs responsabilités et dans leur statut. En vingt ans 144 brevets ont été décernés, matérialisant une attente forte en termes de formation dans les domaines aussi variés et importants que la gestion, le juridique, l’informatique, la bureautique…
Les témoignages dans la salle, d’anciennes lauréates au brevet ont prouvé que ces femmes ont trouvé après leur diplôme, une nouvelle place au sein de l’entreprise et de leur conjoint. Une position plus affirmée, elles prennent plus d’initiatives et parfois elles montent même leur propre projet.
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