Lors de cette période le Centre d’entraînement à l’amerrissage et à la récupération en mer « CEARM » rattaché au Centre de formation à la survie et au sauvetage « CFSS » de Cazaux est venu apporter son appui sur le site côtier bordant la BA126, afin de permettre la mise en œuvre de séances d’amerrissage sous voile après un abandon de bord.
La Terre étant recouverte à 72% d’eau et les zones de conflit étant souvent côtières ou nécessitant des survols maritimes importants, ces séances régulières et indispensables d’entraînement ont une importance toute particulière.
De nombreux facteurs sont à prendre en compte dès la préparation :la vérification des disponibilités sur les créneaux de vols, le contrôle de la zone de brélage et de mise sous voile ainsi que tout le matériel nautique et paquetage de survie des pilotes.
Sont également pris en compte les facteurs tels que les conditions météorologiques comme la vitesse du vent, hydrométriques comme les courants marins ou la visibilité qui ne doit pas être inférieure à 500 mètres.
La Terre étant recouverte à 72% d’eau et les zones de conflit étant souvent côtières ou nécessitant des survols maritimes importants, ces séances régulières et indispensables d’entraînement ont une importance toute particulière.
De nombreux facteurs sont à prendre en compte dès la préparation :la vérification des disponibilités sur les créneaux de vols, le contrôle de la zone de brélage et de mise sous voile ainsi que tout le matériel nautique et paquetage de survie des pilotes.
Sont également pris en compte les facteurs tels que les conditions météorologiques comme la vitesse du vent, hydrométriques comme les courants marins ou la visibilité qui ne doit pas être inférieure à 500 mètres.
La dernière phase de l’entraînement a vu l’intervention de l’Escadron d’hélicoptère 01.044 « Solenzara », avec l’exercice type SAMAR (sauvetage maritime) comportant le repérage des naufragés et leurs récupérations.
Le bateau-racteur, qui selon les circonstances adapte son allure et sa direction à partir des
indications du largueur (conseillé technique du PN sous voile), le bateau de sécurité, avec à son bord un chauffeur et un sauveteur plongeur,une équipe de renfort composée d’un auxiliaire médical, d’un infirmier et d’un médecin selon le niveau de risque, ainsi que le directeur de séance, les contrôleurs aériens et les personnels en soutiens techniques ont participé et concouru t à cet entraînement.
Cette préparation complète la formation des équipages de l’armée de l’air en développant les automatismes liés à la survie en milieu maritime. Nécessitant un grand professionnalisme et une technicité irréprochable, une activité a parfaitement exécutée, dans le plus grand respect de l’environnement.
Le bateau-racteur, qui selon les circonstances adapte son allure et sa direction à partir des
indications du largueur (conseillé technique du PN sous voile), le bateau de sécurité, avec à son bord un chauffeur et un sauveteur plongeur,une équipe de renfort composée d’un auxiliaire médical, d’un infirmier et d’un médecin selon le niveau de risque, ainsi que le directeur de séance, les contrôleurs aériens et les personnels en soutiens techniques ont participé et concouru t à cet entraînement.
Cette préparation complète la formation des équipages de l’armée de l’air en développant les automatismes liés à la survie en milieu maritime. Nécessitant un grand professionnalisme et une technicité irréprochable, une activité a parfaitement exécutée, dans le plus grand respect de l’environnement.