Nihil sine terra, que l’on peut traduire par «rien sans la terre», est la nouvelle expo qu'on peut voir du 17 janvier au 15 février au Centre culturel Una Volta de Bastia.
Tout comme les précédents volets du cycle d’exposition « Prospective des murs », le projet s’articule autour de deux approches : historique et symbolique. Puisant dans l’héritage du territoire corse et plus largement méditerranéen, Nihil sine terra entend questionner les enjeux culturels et politiques liés à la terre. En prenant comme point d’ancrage des pratiques botaniques et agricoles, l’exposition filera la métaphore du vivant, estimé non plus comme l’étant à cultiver ou à produire, mais bien comme l’actant décisif de nos sociétés contemporaines. À travers ces va-et-vient, et d’un cadre spatio-temporel à un autre, les récits entrecroiseront les imaginaires déployant une poétique renouvelée de l’existant. Au-delà de l’injonction, Nihil sine terra posera l’interrogation de l’appui, de la matière, des fondements en somme, du paradigme cosmopolitique.
Au cœur du travail de Sandra Lorenzi, la clémentine, si chère à notre île. La plasticienne est diplômée de l’école nationale supérieure d’art de la Villa Arson (Nice), en 2009. Son travail a été présenté depuis dans des institutions et des galeries. On peut citer son module au Palais de Tokyo (2011), sa participation aux expositions : «Rendez-vous» (11-12), à l’Institut d’Art Contemporain (IAC) à Villeurbanne et plus récemment ses solo show à la Maison du Peuple de Vénissieux, et au centre d’art contemporain du Parvis à Ibos (2016-2018). Parallèlement à son travail d’artiste, Sandra Lorenzi enseigne le volume à l’Institut Supérieur des Arts de Toulouse (ISDAT) depuis 2012.
CNI a rencontré l’artiste en train de monter son exposition…
Tout comme les précédents volets du cycle d’exposition « Prospective des murs », le projet s’articule autour de deux approches : historique et symbolique. Puisant dans l’héritage du territoire corse et plus largement méditerranéen, Nihil sine terra entend questionner les enjeux culturels et politiques liés à la terre. En prenant comme point d’ancrage des pratiques botaniques et agricoles, l’exposition filera la métaphore du vivant, estimé non plus comme l’étant à cultiver ou à produire, mais bien comme l’actant décisif de nos sociétés contemporaines. À travers ces va-et-vient, et d’un cadre spatio-temporel à un autre, les récits entrecroiseront les imaginaires déployant une poétique renouvelée de l’existant. Au-delà de l’injonction, Nihil sine terra posera l’interrogation de l’appui, de la matière, des fondements en somme, du paradigme cosmopolitique.
Au cœur du travail de Sandra Lorenzi, la clémentine, si chère à notre île. La plasticienne est diplômée de l’école nationale supérieure d’art de la Villa Arson (Nice), en 2009. Son travail a été présenté depuis dans des institutions et des galeries. On peut citer son module au Palais de Tokyo (2011), sa participation aux expositions : «Rendez-vous» (11-12), à l’Institut d’Art Contemporain (IAC) à Villeurbanne et plus récemment ses solo show à la Maison du Peuple de Vénissieux, et au centre d’art contemporain du Parvis à Ibos (2016-2018). Parallèlement à son travail d’artiste, Sandra Lorenzi enseigne le volume à l’Institut Supérieur des Arts de Toulouse (ISDAT) depuis 2012.
CNI a rencontré l’artiste en train de monter son exposition…