Sa disparition prématurée - il avait 55 ans à peine - a, en tout cas, plongé dans l'affliction parents et amis qui l'ont accompagné, avec l'émotion que l'on imagine, à sa dernière demeure au cimetière municipal ce samedi matin au terme de ses obsèques célébrées, devant une foule émue et recueillie, à l'église Notre Dame de Lourdes de Bastia.
Le malaise brutal qui l'a frappé l'avant-veille dans la rue César-Campinchi, où tout le monde le connaissait, nous prive aujourd'hui à jamais de sa présence. De sa gentillesse. De sa passion. De ses engagements.
Gilles Graziani aimait, en effet, à débattre de tout et avec tout le monde. Avec parfois des positions bien arrêtées qui faisaient le charme des débats que l'on avait avec lui, prompt à s'élever contre l'injustice. Et tout aussi prompt à reconnaître la qualité et le sérieux d'un engagement.
C'est de tout cela, au-delà de l'actualité, dont il était question au hasard de nos rencontres. Du temps de nos années à Corse-Matin, où il venait nous rendre souvent visite en voisin.
Ou il y a quelques jours encore dans le centre-ville pour nous dire son enthousiasme pour CNI.
De temps à autre nous évoquions aussi ses talents de footballeur et de gaucher, un peu personnel, sur le flanc de l'attaque du Club de de la presse de la Haute-Corse au sein duquel il avait été coopté sans problème : Gilles était en effet le fils de Tony Graziani, chef de l'agence du Provençal Corse de Bastia, le frère de Jean-Richard, notre confrère et amis journaliste à Corse-Matin, le neveu du regretté Pierre, un ancien du CAB, du Sporting et du GFCA, correspondant sportif au Provençal Corse et à Corse-Matin
En cette triste circonstance nous pensons bien sûr à ses enfants Quentin et Anne-Lou, à son père Tony, à ses frères Jean-Richard, Fabrice et Renaud, à sa sœur Chantal, ses neveux et nièces et à tous ses proches qui le pleurent aujourd'hui.
Le malaise brutal qui l'a frappé l'avant-veille dans la rue César-Campinchi, où tout le monde le connaissait, nous prive aujourd'hui à jamais de sa présence. De sa gentillesse. De sa passion. De ses engagements.
Gilles Graziani aimait, en effet, à débattre de tout et avec tout le monde. Avec parfois des positions bien arrêtées qui faisaient le charme des débats que l'on avait avec lui, prompt à s'élever contre l'injustice. Et tout aussi prompt à reconnaître la qualité et le sérieux d'un engagement.
C'est de tout cela, au-delà de l'actualité, dont il était question au hasard de nos rencontres. Du temps de nos années à Corse-Matin, où il venait nous rendre souvent visite en voisin.
Ou il y a quelques jours encore dans le centre-ville pour nous dire son enthousiasme pour CNI.
De temps à autre nous évoquions aussi ses talents de footballeur et de gaucher, un peu personnel, sur le flanc de l'attaque du Club de de la presse de la Haute-Corse au sein duquel il avait été coopté sans problème : Gilles était en effet le fils de Tony Graziani, chef de l'agence du Provençal Corse de Bastia, le frère de Jean-Richard, notre confrère et amis journaliste à Corse-Matin, le neveu du regretté Pierre, un ancien du CAB, du Sporting et du GFCA, correspondant sportif au Provençal Corse et à Corse-Matin
En cette triste circonstance nous pensons bien sûr à ses enfants Quentin et Anne-Lou, à son père Tony, à ses frères Jean-Richard, Fabrice et Renaud, à sa sœur Chantal, ses neveux et nièces et à tous ses proches qui le pleurent aujourd'hui.