A l'issue de de cette entrevue Jean-Pierre Battestini, secrétaire départemental de la CGT pour la Haute-Corse qui menait le rassemblement, expliquait le sens du mouvement.
"A la suite du rassemblement massif du personnel de la CAB nous avons été reçus par l'ensemble des vice-présidents. Les uns et les autres ont tenu à nous rassurer. ils nous ont dit que la colère et l'inquiétude qui étaient les nôtres étaient légitimes. Gilles Simeoni, comme l'ensemble des maires, l'a reconnu. Nous savons bien que nous sommes dans un budget d'austérité puisque il y a un pacte de solidarité que le Gouvernement impose à toutes les collectivités, mais dans le même temps nous ne voulons pas tomber dans les joutes politiciennes de l'heure entre les diverses composantes de la majorité de la CAB."
"En tout cas nous souhaitons pas que les personnels fassent les frais de cette politique. Et nous ne souhaitons pas davantage que des impôts locaux plus importants frappent les familles alors que bien des entreprises en sont encore exonérées."
Dès lots, le chahut, qui avait été organisé avant le début de la session n'avait plus lieu d'être et c'est, très, sagement que l'ensemble des personnels a assisté aux échanges qui se sont multipliés tout au long de la journée dans la salle de délibérations de l'hôtel de ville de Bastia où se réunit depuis toujours le conseil communautaire.
"A la suite du rassemblement massif du personnel de la CAB nous avons été reçus par l'ensemble des vice-présidents. Les uns et les autres ont tenu à nous rassurer. ils nous ont dit que la colère et l'inquiétude qui étaient les nôtres étaient légitimes. Gilles Simeoni, comme l'ensemble des maires, l'a reconnu. Nous savons bien que nous sommes dans un budget d'austérité puisque il y a un pacte de solidarité que le Gouvernement impose à toutes les collectivités, mais dans le même temps nous ne voulons pas tomber dans les joutes politiciennes de l'heure entre les diverses composantes de la majorité de la CAB."
"En tout cas nous souhaitons pas que les personnels fassent les frais de cette politique. Et nous ne souhaitons pas davantage que des impôts locaux plus importants frappent les familles alors que bien des entreprises en sont encore exonérées."
Dès lots, le chahut, qui avait été organisé avant le début de la session n'avait plus lieu d'être et c'est, très, sagement que l'ensemble des personnels a assisté aux échanges qui se sont multipliés tout au long de la journée dans la salle de délibérations de l'hôtel de ville de Bastia où se réunit depuis toujours le conseil communautaire.