Le comité des chômeurs et des précaires a dénoncé essentiellement le "travailler plus pour gagner moins".
"Avec cette réforme le patron pourra imposer des semaines de 48 heures, voire plus, et des heures supplémentaires bien moins payées qu'aujourd'hui" argumente la CGT.
Le comité a encore mis en avant le "se faire virer plus facilement" . "Les licenciements seront facilités avec des indemnités très faibles y compris lors d'un renvoi abusif sans cause réelle" ajoute encore le comité des chômeurs et des précaires qui estime que "le chômage va encore augmenter. Avec la fin des 35 heures et l'augmentation des heures de travail pour ceux qui en ont un, ce sera moins de possibilités de trouver un travail pour les demandeurs d'emplois".
Et de rappeler que "25 000 Corses sont sans emplois. Plus de 50 000 ont des emplois précaires ou à temps partiel. Moins de la moitié des chômeurs sont indemnisés."
Dès lors pour le comité des chômeurs et des précaires de la CGT, pas question de ruptures de contrat conventionnelles. "En Corse, chaque année, plus de 2 000 salariés sont victimes de ce type de rupture de contrat."
"Chômeurs et précaires à vie ? Non merci " a clamé encore une fois haut et fort la CGT
"Avec cette réforme le patron pourra imposer des semaines de 48 heures, voire plus, et des heures supplémentaires bien moins payées qu'aujourd'hui" argumente la CGT.
Le comité a encore mis en avant le "se faire virer plus facilement" . "Les licenciements seront facilités avec des indemnités très faibles y compris lors d'un renvoi abusif sans cause réelle" ajoute encore le comité des chômeurs et des précaires qui estime que "le chômage va encore augmenter. Avec la fin des 35 heures et l'augmentation des heures de travail pour ceux qui en ont un, ce sera moins de possibilités de trouver un travail pour les demandeurs d'emplois".
Et de rappeler que "25 000 Corses sont sans emplois. Plus de 50 000 ont des emplois précaires ou à temps partiel. Moins de la moitié des chômeurs sont indemnisés."
Dès lors pour le comité des chômeurs et des précaires de la CGT, pas question de ruptures de contrat conventionnelles. "En Corse, chaque année, plus de 2 000 salariés sont victimes de ce type de rupture de contrat."
"Chômeurs et précaires à vie ? Non merci " a clamé encore une fois haut et fort la CGT