"Contre les politiques d’austérité ; pour un financement juste et durable de notre protection sociale" : c'est sous ce double mot d'ordre que la CGT a appelé au rassemblement jeudi après-midi devant les locaux de CPAM de la Haute-Corse, boulevard Jean-Zuccarelli.
Cette manaifestation fut l'occasion pour la CGT de répététer qu'Il "ne se passe pas un jour sans que le duo infernal gouvernement/MEDEF ou plutôt Valls/Gattaz, tente de remettre en cause nos règles sociales. Un jour ce sont les chômeurs qui ne rechercheraient pas activement du travail ; le lendemain c’est la durée légale du travail qui serait un frein à la compétitivité, ou alors le SMIC trop élevé et même les fameux seuils sociaux".
"Le patronat qui prétend favoriser le dialogue social dans les entreprises fait tout pour éliminer les représentants du personnel, alors qu’une entreprise sur 2 qui pourrait bénéficier d’un comité d’entreprise n’en possède pas.
Pour faire un nouveau cadeau de 40 milliard au patronat, le gouvernement ponctionne 50 milliards sur les ménages, les collectivités locales et la protection sociale." Pas question pour la CGT "de laisser faire. Alors que les dividendes des grandes entreprises ont progressé de 30% nous ne laisserons pas notre protection sociale héritière de la résistance voler en éclat.
"Les propositions budgétaires de diminution des allocations familiales, de la prime à la naissance, et du congé parental remettent en cause toute notre politique sociale. En 1980 les recettes de la sécu étaient composées à 98% de cotisations contre à peine 60% aujourd’hui. Autrement dit les ménages donnent plus, mais reçoivent moins.
Pour la sécu, la CGT propose de revaloriser le travail et les salaires. Nous proposons de remettre à plat les 170 milliards d’aides publiques annuelles aux entreprises dont les effet sur l’emploi sont nulles".
Cette manaifestation fut l'occasion pour la CGT de répététer qu'Il "ne se passe pas un jour sans que le duo infernal gouvernement/MEDEF ou plutôt Valls/Gattaz, tente de remettre en cause nos règles sociales. Un jour ce sont les chômeurs qui ne rechercheraient pas activement du travail ; le lendemain c’est la durée légale du travail qui serait un frein à la compétitivité, ou alors le SMIC trop élevé et même les fameux seuils sociaux".
"Le patronat qui prétend favoriser le dialogue social dans les entreprises fait tout pour éliminer les représentants du personnel, alors qu’une entreprise sur 2 qui pourrait bénéficier d’un comité d’entreprise n’en possède pas.
Pour faire un nouveau cadeau de 40 milliard au patronat, le gouvernement ponctionne 50 milliards sur les ménages, les collectivités locales et la protection sociale." Pas question pour la CGT "de laisser faire. Alors que les dividendes des grandes entreprises ont progressé de 30% nous ne laisserons pas notre protection sociale héritière de la résistance voler en éclat.
"Les propositions budgétaires de diminution des allocations familiales, de la prime à la naissance, et du congé parental remettent en cause toute notre politique sociale. En 1980 les recettes de la sécu étaient composées à 98% de cotisations contre à peine 60% aujourd’hui. Autrement dit les ménages donnent plus, mais reçoivent moins.
Pour la sécu, la CGT propose de revaloriser le travail et les salaires. Nous proposons de remettre à plat les 170 milliards d’aides publiques annuelles aux entreprises dont les effet sur l’emploi sont nulles".