Le thème de l’éducation est au cœur de la démarche de prospective menée par le Président de l’Assemblée de Corse depuis 2015. Il est l’objet des travaux de l’une des cinq conférences permanentes mises en œuvre et dont les réflexions sont alimentées, d’une part, par le rapport rédigé par le CESC (Conseil Economique, Social et Culturel de Corse) sur ce sujet à la demande de Jean-Guy Talamoni ; d’autre part, par les entretiens menés avec tous les acteurs de l’éducation. « Pour rappel, en janvier 2017, l’Assemblée de Corse a voté en faveur d’un cadre normatif spécifique pour l’enseignement en Corse. En mai 2018, elle a adopté un budget de 69 221 021 € pour l’éducation » précise JG Talamoni.
A Bastia, les effectifs scolaires, lors de cette rentrée 2018, sont relativement stables, en comparaison avec les années précédentes. On notera toutefois que les enfants scolarisés en petite section de maternelle sont plus nombreux que l’an dernier (309 élèves en 2018 / 290 en 2017). Deux classes de maternelles sont pour l’heure sur la sellette à Campanari et Venturi. « On saura le 12 septembre, après comptage des effectifs, si ces deux classes vont pouvoir être sauvées » souligne Ivana Polisini, adjointe au maire de Bastia, déléguée à l’éducation et à la jeunesse.
« L’Éducation, l’enfance et la jeunesse sont au cœur de nos préoccupations, ce n’est pas un vague slogan de campagne mais la pierre angulaire de notre projet. Notre rôle, notre responsabilité consistent à répondre aux besoins et attentes des jeunes générations dans tous les domaines, pendant le temps scolaire et hors du temps scolaire » déclare Pierre Savelli.
« La rentrée scolaire à Bastia concerne 2 800 enfants, leurs familles, les enseignants, le personnel communal. Autant dire qu’elle nécessite une mobilisation générale qui se construit toute l’année » ajoute Ivana Polisini. « Durant cinq années, nous avons appliqué cette politique qui exige du temps, de la qualité, de la cohérence, de la durabilité. Elle exige aussi que nous ayons les pieds sur terre et la tête dans les étoiles, afin de rendre le présent meilleur tout en imaginant l’avenir. Rendre le présent meilleur nous le faisons quand nous améliorons le cadre de vie des enfants en programmant des rénovations de peinture, des réfections de halls, en créant des espaces supplémentaires, en repensant le confort thermique notamment en maternelles ».
La municipalité s’est engagée, en termes d’éducation, à développer le goût pour les sciences à travers notamment l’équipement numérique de toutes les écoles. « Nous consacrons de nombreux efforts à la mise en place d’un véritable centre des sciences à la pointe du progrès qui devrait voir le jour à la rentrée prochaine » commente encore le maire de Bastia, « Avenir aussi quand nous construisons un véritable projet alternatif à la future école Gaudin, en collaboration avec l’éducation nationale. Avenir aussi quand nous bâtissons des écoles : Desanti, Cardu, restauration scolaire à Defendini. Dans tous ces projets un seul crédo : qualité et cohérence dans le temps et la durée. Avenir aussi quand les petits bastiais deviendront eux aussi des acteurs de la politique municipale à travers le Conseil Municipal des Enfants qui devrait être installé d’ici la fin de l’année ».
Si le maire est tourné vers l’avenir, ce jeudi, c’est un petit retour dans le passé qu’il a fait à l’école Charpak. Il y a en effet 50 ans il y faisait sa rentrée des classes avec …. Jean-Guy Talamoni !
CNI a suivi pour vous cette visite…
A Bastia, les effectifs scolaires, lors de cette rentrée 2018, sont relativement stables, en comparaison avec les années précédentes. On notera toutefois que les enfants scolarisés en petite section de maternelle sont plus nombreux que l’an dernier (309 élèves en 2018 / 290 en 2017). Deux classes de maternelles sont pour l’heure sur la sellette à Campanari et Venturi. « On saura le 12 septembre, après comptage des effectifs, si ces deux classes vont pouvoir être sauvées » souligne Ivana Polisini, adjointe au maire de Bastia, déléguée à l’éducation et à la jeunesse.
« L’Éducation, l’enfance et la jeunesse sont au cœur de nos préoccupations, ce n’est pas un vague slogan de campagne mais la pierre angulaire de notre projet. Notre rôle, notre responsabilité consistent à répondre aux besoins et attentes des jeunes générations dans tous les domaines, pendant le temps scolaire et hors du temps scolaire » déclare Pierre Savelli.
« La rentrée scolaire à Bastia concerne 2 800 enfants, leurs familles, les enseignants, le personnel communal. Autant dire qu’elle nécessite une mobilisation générale qui se construit toute l’année » ajoute Ivana Polisini. « Durant cinq années, nous avons appliqué cette politique qui exige du temps, de la qualité, de la cohérence, de la durabilité. Elle exige aussi que nous ayons les pieds sur terre et la tête dans les étoiles, afin de rendre le présent meilleur tout en imaginant l’avenir. Rendre le présent meilleur nous le faisons quand nous améliorons le cadre de vie des enfants en programmant des rénovations de peinture, des réfections de halls, en créant des espaces supplémentaires, en repensant le confort thermique notamment en maternelles ».
La municipalité s’est engagée, en termes d’éducation, à développer le goût pour les sciences à travers notamment l’équipement numérique de toutes les écoles. « Nous consacrons de nombreux efforts à la mise en place d’un véritable centre des sciences à la pointe du progrès qui devrait voir le jour à la rentrée prochaine » commente encore le maire de Bastia, « Avenir aussi quand nous construisons un véritable projet alternatif à la future école Gaudin, en collaboration avec l’éducation nationale. Avenir aussi quand nous bâtissons des écoles : Desanti, Cardu, restauration scolaire à Defendini. Dans tous ces projets un seul crédo : qualité et cohérence dans le temps et la durée. Avenir aussi quand les petits bastiais deviendront eux aussi des acteurs de la politique municipale à travers le Conseil Municipal des Enfants qui devrait être installé d’ici la fin de l’année ».
Si le maire est tourné vers l’avenir, ce jeudi, c’est un petit retour dans le passé qu’il a fait à l’école Charpak. Il y a en effet 50 ans il y faisait sa rentrée des classes avec …. Jean-Guy Talamoni !
CNI a suivi pour vous cette visite…