Parmi celles-ci, figure en premier lieu l’indemnisation des sinistrés des intempéries qui ont durement frappé le département en 2016. D’ici la fin du mois la mission ad-hoc aura rendu son rapport et on connaîtra alors le montant des aides accordées.
Autre priorité : l’accompagnement à l’installation de la collectivité unique et le préfet se déclare prêt à travailler avec les élus de tous bords.
Evoquant l’actualité de ces derniers jours, il a qualifié d’initiative « maladroite », le projet du questionnaire dans les écoles demandé par la CTC. Pour le préfet il y a des sujets sensibles voire tabous qui doivent être traités dans un cadre juridique et dans ce cas « la procédure n’a pas été suivie ».
Au sujet des incendies de forêts, un problème qu’il a côtoyé lorsqu’il était en poste dans les Alpes-Maritimes et Haute-Provence, il a, d’ores et déjà, pris connaissance du dispositif mis en place souhaitant déjà conserver les moyens habituels.
Au fait du dossier Xylella Fastidiosa, il a indiqué que de nombreuses dispositions étaient déjà en place mais qu’on se heurtait à un problème de lois. « Le sujet est sensible car la France ne respecte pas en effet les règles européennes en la matière». « Ce qui importe aujourd’hui c’est que le dispositif actuel soit préservé. Il n’est pas forcement étanche mais offre des garde-fous ».
Autant de dossiers évoqués au micro de CNI, devant lequel il a confié, aussi, être un passionné de football…
Administrateur civil hors classe, Gérard Gavory était jusqu’à présent préfet délégué pour la défense et la sécurité auprès du préfet de la région Auvergne-Rhône-Alpes, préfet de la zone de défense et de sécurité Sud-Est et préfet du Rhône.
Agé de 59 ans, Gérard Gavoury est originaire du Nord. Il a été successivement en poste à Draguignan, dans le Var, administrateur civil au ministère de l'Intérieur, sous-préfet de Mirande, secrétaire général de la préfecture des Alpes-de-Haute-Provence, directeur de cabinet du préfet du Val-d'Oise, sous-préfet hors-classe de Calais et secrétaire général de la préfecture des Alpes-Maritimes.
Autre priorité : l’accompagnement à l’installation de la collectivité unique et le préfet se déclare prêt à travailler avec les élus de tous bords.
Evoquant l’actualité de ces derniers jours, il a qualifié d’initiative « maladroite », le projet du questionnaire dans les écoles demandé par la CTC. Pour le préfet il y a des sujets sensibles voire tabous qui doivent être traités dans un cadre juridique et dans ce cas « la procédure n’a pas été suivie ».
Au sujet des incendies de forêts, un problème qu’il a côtoyé lorsqu’il était en poste dans les Alpes-Maritimes et Haute-Provence, il a, d’ores et déjà, pris connaissance du dispositif mis en place souhaitant déjà conserver les moyens habituels.
Au fait du dossier Xylella Fastidiosa, il a indiqué que de nombreuses dispositions étaient déjà en place mais qu’on se heurtait à un problème de lois. « Le sujet est sensible car la France ne respecte pas en effet les règles européennes en la matière». « Ce qui importe aujourd’hui c’est que le dispositif actuel soit préservé. Il n’est pas forcement étanche mais offre des garde-fous ».
Autant de dossiers évoqués au micro de CNI, devant lequel il a confié, aussi, être un passionné de football…
Administrateur civil hors classe, Gérard Gavory était jusqu’à présent préfet délégué pour la défense et la sécurité auprès du préfet de la région Auvergne-Rhône-Alpes, préfet de la zone de défense et de sécurité Sud-Est et préfet du Rhône.
Agé de 59 ans, Gérard Gavoury est originaire du Nord. Il a été successivement en poste à Draguignan, dans le Var, administrateur civil au ministère de l'Intérieur, sous-préfet de Mirande, secrétaire général de la préfecture des Alpes-de-Haute-Provence, directeur de cabinet du préfet du Val-d'Oise, sous-préfet hors-classe de Calais et secrétaire général de la préfecture des Alpes-Maritimes.