Avant de rencontrer les locataires intéressés en compagnie d'Emile Zuccarelli maire de Bastia, et Ange Rovere, premier adjoint, Nathalie Dutheil était venue, avec une importante délégation de Logirem, présenter l'opération à l'hôtel de ville de Bastia.
Auparavant Emile Zuccarelli avait souligné, au-delà du partenariat actif avec Logirem, concrétisé de longue date et qui va se poursuivre dans le bâti ancien notamment du côté du Puntetto, les trois bonnes raisons qui avaient incité la collectivité à adhérer à l'initiative.
De l'importance du logement social à l'impérieux devoir des collectivités de posséder un parc de logement sociaux - Bastia figure parmi les bons élèves de la classe avec un parc 30% - le maire de Bastia s'est réjoui de l'initiative de Logirem de vendre une partie de son patrimoine composé de logements de bonne qualité.
Auparavant Emile Zuccarelli avait souligné, au-delà du partenariat actif avec Logirem, concrétisé de longue date et qui va se poursuivre dans le bâti ancien notamment du côté du Puntetto, les trois bonnes raisons qui avaient incité la collectivité à adhérer à l'initiative.
De l'importance du logement social à l'impérieux devoir des collectivités de posséder un parc de logement sociaux - Bastia figure parmi les bons élèves de la classe avec un parc 30% - le maire de Bastia s'est réjoui de l'initiative de Logirem de vendre une partie de son patrimoine composé de logements de bonne qualité.
Nathalie Dutheil : 25 à 30% en dessous des prix du marché
Cette mise en vente de logements sociaux s'inscrit dans la cadre de la politique de Logirem de permettre à ses clients d'accéder à la propriété.
"Mais il ne s'agira pas d'une obligation. Les locataires des résidences Agliani et Le Sémaphore le resteront tant qu'ils le voudront" a souligné Nathalie Dutheil.
"La vente de ces 127 appartements nous permettra de reconstituer des fonds propres mais aussi de réinvestir sur le territoire de la communauté d'agglomération de Bastia, où nous avons accru notre patrimoine de 20% en 4 ans" a encore précisé Nathalie Dutheil.
Les prix à la vente ? Il seront de 25 à 30% en dessous des prix du marché. Un T 3 coûtera entre 82 et 87 000€, un T4 moins de 100 00 " entre 92 et 98 000 € en fonction de l'étage de la superficie et de l'exposition" a précisé le membre du Directoire de Logirem en soulignant que "les enfants des locataires pouvaient parfaitement acheter pour leurs parents".
Une bonne opportunité donc, pour qui le veut, de passer de la location sociale à l'accession sociale.
Mais une accession sociale que Logirem veut réussie, puisque la société sera Syndic des immeubles et garantira le rachat et le relogement en cas d'accident de la vie notamment.
Au-delà de ces garanties Logirem a dit toute sa volonté de "résidentialiser" ces immeubles déjà bien confortables où il y a très peu de rotations, preuve que les locataires y sont très bien.
Mais la société ne veut pas faire vite : elle se donne 5 à 7 ans pour vendre 30% de son parc.
"Mais il ne s'agira pas d'une obligation. Les locataires des résidences Agliani et Le Sémaphore le resteront tant qu'ils le voudront" a souligné Nathalie Dutheil.
"La vente de ces 127 appartements nous permettra de reconstituer des fonds propres mais aussi de réinvestir sur le territoire de la communauté d'agglomération de Bastia, où nous avons accru notre patrimoine de 20% en 4 ans" a encore précisé Nathalie Dutheil.
Les prix à la vente ? Il seront de 25 à 30% en dessous des prix du marché. Un T 3 coûtera entre 82 et 87 000€, un T4 moins de 100 00 " entre 92 et 98 000 € en fonction de l'étage de la superficie et de l'exposition" a précisé le membre du Directoire de Logirem en soulignant que "les enfants des locataires pouvaient parfaitement acheter pour leurs parents".
Une bonne opportunité donc, pour qui le veut, de passer de la location sociale à l'accession sociale.
Mais une accession sociale que Logirem veut réussie, puisque la société sera Syndic des immeubles et garantira le rachat et le relogement en cas d'accident de la vie notamment.
Au-delà de ces garanties Logirem a dit toute sa volonté de "résidentialiser" ces immeubles déjà bien confortables où il y a très peu de rotations, preuve que les locataires y sont très bien.
Mais la société ne veut pas faire vite : elle se donne 5 à 7 ans pour vendre 30% de son parc.